A cet effet, sont présents le préfet de Kolda Bouya Amar, madame Dieh Ndiaye Ba directrice directrice nationale du bureau des agents d’état civil, Yves Kassaka représentant de l’UNICEF et d’une délégation venue du Tchad pour partager son expérience.
L’enregistrement des naissances est une question transversale qui, à travers une approche holistique et participative, s’il est bien tenu, devrait améliorer la connaissance de la cible enfant.
En ce sens, il faut noter que les régions de Kolda et de Sédhiou constituent une préoccupation majeure des autorités administratives.
Pour madame Ba qui estime en ces propos la lancinante question de l’état civil « l’état civil constitue une préoccupation importante puisqu’il donne accès à tout (scolarité, carte d’identité, travail,…) c’est pourquoi nous pensons qu’il mérite d’être pris très au sérieux. »
Les propos du préfet de la commune, monsieur Bouya Amar viennent confirmer l’urgence sur la question de l’enregistrement des enfants à la naissance « pour preuve, certaine famille n’ont pas pu bénéficier de la bourse familiale faute de pièce d’état civil et c’est dans localité nous rencontrons des individus de plus de soixante dix(70) ans sans pièce d’état civil.»
Tout ceci, à cet effet appelle à développer les compétences et aptitudes des acteurs de Kolda et de Sédhiou pour la mise en œuvre des stratégies et activités de communication pour adopter de nouveaux comportements favorables à l’enregistrement et au retrait des actes de naissances.
L’enregistrement des naissances est une question transversale qui, à travers une approche holistique et participative, s’il est bien tenu, devrait améliorer la connaissance de la cible enfant.
En ce sens, il faut noter que les régions de Kolda et de Sédhiou constituent une préoccupation majeure des autorités administratives.
Pour madame Ba qui estime en ces propos la lancinante question de l’état civil « l’état civil constitue une préoccupation importante puisqu’il donne accès à tout (scolarité, carte d’identité, travail,…) c’est pourquoi nous pensons qu’il mérite d’être pris très au sérieux. »
Les propos du préfet de la commune, monsieur Bouya Amar viennent confirmer l’urgence sur la question de l’enregistrement des enfants à la naissance « pour preuve, certaine famille n’ont pas pu bénéficier de la bourse familiale faute de pièce d’état civil et c’est dans localité nous rencontrons des individus de plus de soixante dix(70) ans sans pièce d’état civil.»
Tout ceci, à cet effet appelle à développer les compétences et aptitudes des acteurs de Kolda et de Sédhiou pour la mise en œuvre des stratégies et activités de communication pour adopter de nouveaux comportements favorables à l’enregistrement et au retrait des actes de naissances.