Le bilan provisoire fait état de trois militaires blessés dont un grièvement atteint et des tirs sont encore entendus dans la zone à en croire des témoignages concordants.
Selon, une source militaire la tactique ressemble à celle effectuée contre le poste de gendarmerie de Goudomp la semaine dernière.
Cette situation fait penser à la déclaration du chef de guerre rebelle Ousmane Niantang Diatta de plonger toute la bande frontalière dans l’insécurité qui pourrait perturber ainsi la cartographie électorale par l’exode massif de populations.
Pour l’heure la psychose et la consternation gagne du terrain au fur à mesure que les attaques à main armées se multiplient dans cette zone frontalière à la Guinée Bissau.
AMADOU MAHMOUD DIALLO/KOLDA