SETAL.NET - La fille de joie en question s’est livrée au jeu de questions réponses de notre confrère du journal Grand’Place. Fatou, certainement un nom d’emprunt, explique pourquoi, en dehors de ses heures de travail chez une autorité locale à Kédougou qui ne connait rien de son autre métier, elle s’adonne à la prostitution. A l’en croire, c’est le dénuement total dans lequel elle et sa grand-mère vivent qui l’a poussé dans les bras de la nuit. « Si j’ai accepté de me lancer dans la prostitution, c’est parce que je n’ai pas d’oncles ni de frères, puisque je ne connais pas mes parents de mon père », argue-t-elle.
Son premier rapport sexuel, cette orpheline de mère dit l’avoir eu à l’âge de 12 ans. Son bourreau, un homme à qui elle avait demandé la somme de 500 fr pour acheter des chaussures, lui proposât de coucher avec lui. « Un acte que je n’oublierai jamais », pleure-t-elle. Tout comme son quotidien qui ne lui rapporte rien. « Physiquement, je suis malade, financièrement, je ne gagne pratiquement rien », geint Fatou qui cependant, n’est pas prête à quitter la prostitution. Triste sort, non ?
Son premier rapport sexuel, cette orpheline de mère dit l’avoir eu à l’âge de 12 ans. Son bourreau, un homme à qui elle avait demandé la somme de 500 fr pour acheter des chaussures, lui proposât de coucher avec lui. « Un acte que je n’oublierai jamais », pleure-t-elle. Tout comme son quotidien qui ne lui rapporte rien. « Physiquement, je suis malade, financièrement, je ne gagne pratiquement rien », geint Fatou qui cependant, n’est pas prête à quitter la prostitution. Triste sort, non ?