Me Abdoulaye Wade et Nicolas Sarkozy ont fait de la chute de Khadafi leur cheval de bataille. Si le premier a été utilisé pour convaincre de la calamité que représenterait le défunt guide libyen pour son peuple et pour le continent africain, le second a fait montre d’une détermination inouie pour descendre celui qui selon des medias français aurait participé au financement de sa campagne de 2007.
En tout cas, la traque enclenchée qui a débouché sur son « assassinant » ne leur a pas porté chance car tous les deux, très engagés pour la perte du défunt guide libyen ont vu leurs fauteuils présidentiels leur échapper et s’écrouler comme un château de cartes. Wade est humilié par son ancien « second couteau » à la présidentielle de février dernier. Quant à Sarkozy, il a été balayé par le vent de changement qui a pris ses marques au Maghreb, effleuré l’Afrique de l’ouest avant d’atterrir en Europe. Khadafi doit rire sous cape. Dans sa tombe !
En tout cas, la traque enclenchée qui a débouché sur son « assassinant » ne leur a pas porté chance car tous les deux, très engagés pour la perte du défunt guide libyen ont vu leurs fauteuils présidentiels leur échapper et s’écrouler comme un château de cartes. Wade est humilié par son ancien « second couteau » à la présidentielle de février dernier. Quant à Sarkozy, il a été balayé par le vent de changement qui a pris ses marques au Maghreb, effleuré l’Afrique de l’ouest avant d’atterrir en Europe. Khadafi doit rire sous cape. Dans sa tombe !