OBJECTION ! La star de téléréalité dit avoir été incitée à étudier le droit après avoir intercédé auprès de Donald Trump pour obtenir la grâce d'une condamnée
Une future star du barreau ? Kim Kardashian suit actuellement un stage au sein d'un cabinet d'avocats et prévoit de passer le barreau de Californie en 2022, a-t-elle déclaré dans une interview au magazine Vogue, publiée mercredi.
La star américaine de téléréalité, agée de 38 ans et forte de 134 millions d'abonnés sur Instagram, a expliqué avoir été incitée à étudier le droit après avoir intercédé auprès de Donald Trump pour obtenir la grâce d'Alice Marie Johnson.
Cette femme de 63 ans était en prison depuis plus de 20 ans, après sa condamnation, en 1996, à la réclusion criminelle à perpétuité sans possibilité de libération conditionnelle, pour sa participation à un vaste trafic de stupéfiants dans la région de Memphis (Tennessee). Une semaine après avoir reçu Kim Kardashian, le président américain avait gracié Alice Marie Johnson, début juin 2018.
"Je veux me battre pour les gens qui ont payé leur dette envers la société"
Kim Kardashian raconte avoir été conviée, en une autre occasion, à la Maison Blanche pour participer à un groupe de travail sur le système des grâces et libertés conditionnelles. "Je me suis dit que je voulais me battre pour les gens qui ont payé leur dette envers la société", a-t-elle expliqué à Jonathan Van Meter, qui l'a interrogé pour Vogue, dont elle fait la Une du numéro de mai. "Et si j'en sais plus, je pourrai faire davantage."
Les études d'avocat sont normalement réservées aux étudiants titulaires de l'équivalent d'un Master (bachelor degree) aux États-Unis. Or Kim Kardashian n'a jamais été diplômée de l'université californienne Pierce, où elle s'était inscrite à l'issue de ses études secondaires mais qu'elle a quittée prématurément. Mais quelques États américains, dont la Californie, permettent d'étudier le droit au sein d'un cabinet d'avocats puis de passer le concours, après quatre années.
Kim Kardashian effectue donc son stage depuis l'an dernier dans un cabinet de San Francisco et ambitionne de passer le barreau en 2022. En attendant, elle explique s'intéresser aux cas d'autres détenus qui demandent leur libération anticipée.