"C'est un projet novateur. Les conseillers en emploi préposés dans ces Kiosques vont enregistrer les demandeurs d'emploi, les écouter, les informer, les orienter et enfin les suivre", a-t-il souligné à l'ouverture d'une session de formation des formateurs des "Kiosques Emplois".
D'une durée de dix jours, cette session va regrouper les 14 formateurs chargés de former à leur tour les 100 conseillers en emploi prévus par ce projet dont la durée de mise en œuvre est arrêtée à quatre années.
Ces derniers devraient "permettre d'avoir des statistiques précises sur la demande, la structure et la typologie des demandeurs d'emploi au Sénégal", a précisé le directeur de cabinet du ministre de la Jeunesse, de l'Emploi et de la Promotion des valeurs civiques.
Selon lui, cela "permettra d'avoir une base de données fiables et plus tard travailler sur l'offre pour qu'elle puisse aller avec la demande".
Avant le 15 juillet prochain, "Dakar vu la forte de la demande en emplois aura dix kiosques emplois et un guichet sera mis dans tous les départements du pays", a-t-il annoncé.
"Dans chaque guichet, deux conseillers en emploi seront en place pour qu'au Sénégal, on soit capable de communiquer sur les chiffres du chômage à tout moment comme cela se fait dans le autres pays", a-t-il encore indiqué.
Au Sénégal, a-t-il fait valoir, "lorsqu'on s'intéresse aux chiffres du chômage, on est limité. Ce qui est sûr, c'est que chaque année on a 210.000 nouveaux demandeurs d'emploi".
Les experts choisis pour cette formation "vont élaborer eux-mêmes les outils que les futurs conseillers en emploi préposés dans les "kiosques emplois vont dérouler", a expliqué le formateur de cette session, Cheikh Ngom.
Le ministère de la Jeunesse, de l'Emploi et de la Promotion des valeurs civiques a déjà mobilisé 300 millions de francs CFA pour ce projet soutenu par de nombreux partenaires dont l'Agence nationale de la statistique et de la démographie (ANSD), l'Agence de l'informatique de l'Etat (ADIE), le Fonds des Nations unies pour le développement (PNUD) et l'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA).
D'une durée de dix jours, cette session va regrouper les 14 formateurs chargés de former à leur tour les 100 conseillers en emploi prévus par ce projet dont la durée de mise en œuvre est arrêtée à quatre années.
Ces derniers devraient "permettre d'avoir des statistiques précises sur la demande, la structure et la typologie des demandeurs d'emploi au Sénégal", a précisé le directeur de cabinet du ministre de la Jeunesse, de l'Emploi et de la Promotion des valeurs civiques.
Selon lui, cela "permettra d'avoir une base de données fiables et plus tard travailler sur l'offre pour qu'elle puisse aller avec la demande".
Avant le 15 juillet prochain, "Dakar vu la forte de la demande en emplois aura dix kiosques emplois et un guichet sera mis dans tous les départements du pays", a-t-il annoncé.
"Dans chaque guichet, deux conseillers en emploi seront en place pour qu'au Sénégal, on soit capable de communiquer sur les chiffres du chômage à tout moment comme cela se fait dans le autres pays", a-t-il encore indiqué.
Au Sénégal, a-t-il fait valoir, "lorsqu'on s'intéresse aux chiffres du chômage, on est limité. Ce qui est sûr, c'est que chaque année on a 210.000 nouveaux demandeurs d'emploi".
Les experts choisis pour cette formation "vont élaborer eux-mêmes les outils que les futurs conseillers en emploi préposés dans les "kiosques emplois vont dérouler", a expliqué le formateur de cette session, Cheikh Ngom.
Le ministère de la Jeunesse, de l'Emploi et de la Promotion des valeurs civiques a déjà mobilisé 300 millions de francs CFA pour ce projet soutenu par de nombreux partenaires dont l'Agence nationale de la statistique et de la démographie (ANSD), l'Agence de l'informatique de l'Etat (ADIE), le Fonds des Nations unies pour le développement (PNUD) et l'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA).