En application de la Directive de Monsieur le Monsieur le Président de la République, lors du Conseil des ministres du 29 juin 2016, l’Agence de Développement Municipal (ADM) est l’une des premières agences à se doter d’un Plan d’Orientation Stratégique (POS) pour la période 2016-2025. La validation dudit plan a réuni les acteurs de la décentralisation. Il s’agit Ministères en charge de la Gouvernance locale, de l’Economie, des Finances et du Plan, de l’Urbanisme et de l’Habitat ; des représentants de l’Association des maires du Sénégal (AMS) et de l’Union des Associations des Elus locaux (UAEL), entre autres.
En effet, 20 ans après sa création, il s’est agi pour l’ADM de s’interroger sur son avenir institutionnel et se doter d’un instrument de pilotage adapté à l’évolution du contexte et aux nombreux changements de paradigmes et aux enjeux liés au Plan Sénégal Emergent (PSE), à l’Acte III de la Décentralisation, aux Directives de l’UEMOA, à l’Agenda 2063 de l’Union africaine, aux Objectifs de Développement durable (ODD) des Nations Unies.
Ainsi, l’ADM se donne-t-elle comme vision de «Bâtir ensemble des territoires résilients, solidaires et porteurs de développement» avec comme mandat d’être le «partenaire de référence des territoires», en travaillant au renforcement de leur attractivité, de leur compétitivité et de leur gouvernance. De façon plus concrète, l’ADM se propose de :
Qualifiant l’ADM de «l’un des fleurons du dispositif d’appui aux collectivités territoriales», Adama Diouf, président de l’UAEL s’est félicité des «efforts consentis dans le processus d’élaboration de ce Plan stratégique». Il est, en outre, revenu sur les réalisations de l’ADM et qui ont contribué à relever le niveau d’équipement et les capacités techniques et institutionnelles des communes du Sénégal. Il s’agit notamment du Programme d’Appui aux Communes (PAC), du Programme de Renforcement et d’Equipement des Collectivités locales (PRECOL) et du Projet de gestion des Eaux pluviales et d’Adaptation aux Changement climatique (PROGEP). L’exécution de ces projets et programmes ont permis également, au-delà de leurs impacts positifs dans l’amélioration des conditions de vie des populations, de concevoir des outils d’une grande importance, parmi lesquels le contrat de ville, l’audit urbain, organisationnel et financier.
Pour rappel, lors du Conseil des Ministres du 29 juin 2016, le Chef de l’Etat avait demandé«au Gouvernement d’engager, dans les meilleurs délais, le processus de révision globale» du cadre juridique des agences, «en vue de recentrer leur action sur la réalisation des objectifs fixés par l’Etat». Dans ce cadre, le Président de la République avait indiqué «au Gouvernement l’impératif de renforcer les pouvoirs de la tutelle technique, de rendre obligatoire, pour chaque agence, l’adoption d’un plan stratégique, d’un dispositif d’évaluation, et la signature, avec l’Etat, d’un contrat de performance, ou d’objectifs et de moyens».
La Cellule Communication
En effet, 20 ans après sa création, il s’est agi pour l’ADM de s’interroger sur son avenir institutionnel et se doter d’un instrument de pilotage adapté à l’évolution du contexte et aux nombreux changements de paradigmes et aux enjeux liés au Plan Sénégal Emergent (PSE), à l’Acte III de la Décentralisation, aux Directives de l’UEMOA, à l’Agenda 2063 de l’Union africaine, aux Objectifs de Développement durable (ODD) des Nations Unies.
Ainsi, l’ADM se donne-t-elle comme vision de «Bâtir ensemble des territoires résilients, solidaires et porteurs de développement» avec comme mandat d’être le «partenaire de référence des territoires», en travaillant au renforcement de leur attractivité, de leur compétitivité et de leur gouvernance. De façon plus concrète, l’ADM se propose de :
- «Contribuer au renforcement des capacités stratégiques, financières, administratives et techniques des collectivités territoriales ;
- accompagner les collectivités territoriales et leurs regroupements dans la mobilisation des finances ;
- concourir à la maîtrise de l’information territoriale ;
- faciliter la coopération entre territoires et la promotion de l’intercommunalité ; et
- concevoir et exécuter des projets et programmes de développement au profit des territoires».
Qualifiant l’ADM de «l’un des fleurons du dispositif d’appui aux collectivités territoriales», Adama Diouf, président de l’UAEL s’est félicité des «efforts consentis dans le processus d’élaboration de ce Plan stratégique». Il est, en outre, revenu sur les réalisations de l’ADM et qui ont contribué à relever le niveau d’équipement et les capacités techniques et institutionnelles des communes du Sénégal. Il s’agit notamment du Programme d’Appui aux Communes (PAC), du Programme de Renforcement et d’Equipement des Collectivités locales (PRECOL) et du Projet de gestion des Eaux pluviales et d’Adaptation aux Changement climatique (PROGEP). L’exécution de ces projets et programmes ont permis également, au-delà de leurs impacts positifs dans l’amélioration des conditions de vie des populations, de concevoir des outils d’une grande importance, parmi lesquels le contrat de ville, l’audit urbain, organisationnel et financier.
Pour rappel, lors du Conseil des Ministres du 29 juin 2016, le Chef de l’Etat avait demandé«au Gouvernement d’engager, dans les meilleurs délais, le processus de révision globale» du cadre juridique des agences, «en vue de recentrer leur action sur la réalisation des objectifs fixés par l’Etat». Dans ce cadre, le Président de la République avait indiqué «au Gouvernement l’impératif de renforcer les pouvoirs de la tutelle technique, de rendre obligatoire, pour chaque agence, l’adoption d’un plan stratégique, d’un dispositif d’évaluation, et la signature, avec l’Etat, d’un contrat de performance, ou d’objectifs et de moyens».
La Cellule Communication