L’album ‘’Bët Set’’, principalement dominé par les sonorités du Mbalax (musique typiquement sénégalaise) avec des morceaux en Rythmes et blues (RN’B) et en musiques africaines contemporaines (azonto ou coupé-décalé), sortira officiellement ce vendredi sur le marché.
Ce nouveau produit musical marque ‘’le réveil de l’enfant griot qui sommeillait en moi depuis ma naissance’’, a confié Backa Niang, qui se définit comme un fils et petit-fils de griot.
Connu dans ses débuts comme rappeur dans le groupe ‘’Gokh Bi Système’’ qui a eu du succès, Backa Niang passe de l’autre côté du miroir avec ce nouveau produit musical dominé par le Mbalax.
’’Depuis ma tendre enfance, je sentais le Mbalax en moi, dans mon sang griot et là j’ai décidé d’extérioriser toutes ces sensations, de leur faire voir le jour à travers cet album ‘’Bët Set’’, a expliqué l’artiste.
’’Il y’a un link, une passerelle entre le Rap et le Mbalax, et c’est la musique, on peut bien vivre la culture urbaine Hip-hop et en même temps faire du mbalax’’, a-t-il poursuivi.
Backa Niang qui a eu à séjourner aux Etats-Unis et à dans d’autres pays, s’exprime dans sa chanson ‘’Dieynaba’’ en wolof, en anglais et en swahili, une langue qu’il a apprise avec ‘’des amis du Kenya’’.
’’En musique, il ne faut pas se fermer ou se limiter, il faut s’ouvrir et les langues ne sont pas des barrières’’, a-t-il fait valoir.
Sa vie d’émigré a aussi inspiré une de ses chansons intitulée ‘’Passe’’ où il évoque quelques besoins primordiaux des émigrés à savoir ‘’ le passeport, le laissez-passer ou l’argent, etc. .
’’Je ne suis pas un feak (faux dans le langage Hip-hop)’’, a dit l’artiste pour réaffirmer son amour pour la musique envers le rap, tout en se disant plus à l’aise dans le mbalakh.
L’artiste compte organiser à partir de samedi un carnaval à Dakar et sa banlieue pour faire la promotion de son nouvel album ‘’Bët Set’
Ce nouveau produit musical marque ‘’le réveil de l’enfant griot qui sommeillait en moi depuis ma naissance’’, a confié Backa Niang, qui se définit comme un fils et petit-fils de griot.
Connu dans ses débuts comme rappeur dans le groupe ‘’Gokh Bi Système’’ qui a eu du succès, Backa Niang passe de l’autre côté du miroir avec ce nouveau produit musical dominé par le Mbalax.
’’Depuis ma tendre enfance, je sentais le Mbalax en moi, dans mon sang griot et là j’ai décidé d’extérioriser toutes ces sensations, de leur faire voir le jour à travers cet album ‘’Bët Set’’, a expliqué l’artiste.
’’Il y’a un link, une passerelle entre le Rap et le Mbalax, et c’est la musique, on peut bien vivre la culture urbaine Hip-hop et en même temps faire du mbalax’’, a-t-il poursuivi.
Backa Niang qui a eu à séjourner aux Etats-Unis et à dans d’autres pays, s’exprime dans sa chanson ‘’Dieynaba’’ en wolof, en anglais et en swahili, une langue qu’il a apprise avec ‘’des amis du Kenya’’.
’’En musique, il ne faut pas se fermer ou se limiter, il faut s’ouvrir et les langues ne sont pas des barrières’’, a-t-il fait valoir.
Sa vie d’émigré a aussi inspiré une de ses chansons intitulée ‘’Passe’’ où il évoque quelques besoins primordiaux des émigrés à savoir ‘’ le passeport, le laissez-passer ou l’argent, etc. .
’’Je ne suis pas un feak (faux dans le langage Hip-hop)’’, a dit l’artiste pour réaffirmer son amour pour la musique envers le rap, tout en se disant plus à l’aise dans le mbalakh.
L’artiste compte organiser à partir de samedi un carnaval à Dakar et sa banlieue pour faire la promotion de son nouvel album ‘’Bët Set’
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