Saer Niang, DG de l'Armp
Censée débusquer les cafards dans la gestion des structures publiques, l’Armp n’est pourtant pas aussi clean qu’on le pense. Et c’est d’ailleurs ce qui a poussé son président du Conseil de surveillance à rendre le tablier.
Abdoulaye Sylla, puisqu’il s’agit de lui, a en effet, démissionné il y a de cela 48 heures. Dans sa lettre de démission, le désormais ex-président du Conseil de surveillance de l’Autorité de régulation des marchés publics (Armp) explique que s’il en est arrivé là, c’est parce que sa cohabitation avec le directeur général de ladite agence est devenue impossible du fait des agissements de ce dernier aux antipodes de la transparence.
Pour preuve, il dit avoir demandé un audit organisationnel de l’Armp parce que tout simplement tout ne serait pas rose dans la boite, mais sa demande est restée dans les tiroirs. En conséquence, il n’avait d’autre choix que de prendre ses distances avec l’Armp.
Abdoulaye Sylla, puisqu’il s’agit de lui, a en effet, démissionné il y a de cela 48 heures. Dans sa lettre de démission, le désormais ex-président du Conseil de surveillance de l’Autorité de régulation des marchés publics (Armp) explique que s’il en est arrivé là, c’est parce que sa cohabitation avec le directeur général de ladite agence est devenue impossible du fait des agissements de ce dernier aux antipodes de la transparence.
Pour preuve, il dit avoir demandé un audit organisationnel de l’Armp parce que tout simplement tout ne serait pas rose dans la boite, mais sa demande est restée dans les tiroirs. En conséquence, il n’avait d’autre choix que de prendre ses distances avec l’Armp.