Le Sénégal est connu et reconnu à travers le monde entier pour son exégèse, sa culture islamique basée sur la tolérance et l’acceptation de l’autre, synonyme d’une ouverture d’esprit matérialisée par un dialogue fécond entre les religions. Mais cette ouverture d’esprit est loin d’être synonyme «d'une fracture du crâne» en ce sens qu’elle part d’une éducation responsable et éthique qui ne se prête pas à la dépravation des mœurs, encore moins au fondamentalisme religieux. Toute chose qui fonde l’Association Islamique pour servir le soufisme (AIS) à s’engager dans le combat pour l’honneur de l’Islam et de la défense de ses valeurs cardinales.
En effet, après avoir fini de faire le tour de tous les foyers religieux du Sénégal, Serigne Mame Cheikh M'backé Khadim Awa Bâ et Cheikh Ahmed Tidiane Niasse se sont décidés à ne plus rester les bras croisés. Ainsi, partant d’un esprit éclairé sur certains points concernant la société sénégalaise et le monde arabe, l’AIS condamne fermement le phénomène des actes contre-nature qui, selon elle, ne sont ni en phase avec nos traditions, ni en conformité avec les principes de l’Islam.
Constatant que ce phénomène n’est pas nouveau et toutes les sociétés qui pratiquaient ces actes contre-nature ont été sévèrement punies par Allah, (Sourate intitulée l’Araignée (versets 28-33)), l’AIS lance un appel à l’endroit des autorités étatiques dont le rôle est de veiller sur le bien-être et la protection des populations contre certaines dérives sociales, de prendre leurs responsabilités concernant ce phénomène. Ainsi, l’AIS propose que l’on introduise dans la réforme constitutionnelle qui doit être soumise par voie référendaire, des lois qui punissent la pratique de ces actes contre-nature.
Quant à l’extrémisme religieux et la violence, l’A.I.S condamne aussi vivement tout ce qui a trait à ces phénomènes, car l’Islam est une religion de paix, de tolérance et de miséricorde comme le dit Allah dans le Coran : « Et Nous ne t’avons envoyé qu’en miséricorde pour l’univers » (Sourate 21, verset 107).
A cet effet, l’AIS propose la pratique du soufisme comme «seul gage de sécurité pour notre salut car prônant l’excellence dans la foi et le comportement et trouvant aussi ses origines dans l’islam. Car, expliquent Serigne Mame Cheikh Mbacké Khadim Awa Bâ et Cheikh Ahmed Tidiane Niasse, le soufisme a toujours été le facteur de notre stabilité sociopolitique, culturelle et religieuse car conduisant l’individu à une vie d’ascète.
L’AIS s’est également prononcée sur le conflit opposant l’Iran et l’Arabie Saoudite. Condamnant fermement l’exécution de guides religieux chiites faite par l’Arabie Saoudite ainsi que les actes posés par des Iraniens qui ont incendié les locaux de son ambassade à Téhéran, l’AIS souhaite que l’Etat sénégalais, grâce à ses relations fraternelles avec ces deux Etats, intervienne pour que la paix revienne entre l’Iran et l’Arabie Saoudite.
En effet, après avoir fini de faire le tour de tous les foyers religieux du Sénégal, Serigne Mame Cheikh M'backé Khadim Awa Bâ et Cheikh Ahmed Tidiane Niasse se sont décidés à ne plus rester les bras croisés. Ainsi, partant d’un esprit éclairé sur certains points concernant la société sénégalaise et le monde arabe, l’AIS condamne fermement le phénomène des actes contre-nature qui, selon elle, ne sont ni en phase avec nos traditions, ni en conformité avec les principes de l’Islam.
Constatant que ce phénomène n’est pas nouveau et toutes les sociétés qui pratiquaient ces actes contre-nature ont été sévèrement punies par Allah, (Sourate intitulée l’Araignée (versets 28-33)), l’AIS lance un appel à l’endroit des autorités étatiques dont le rôle est de veiller sur le bien-être et la protection des populations contre certaines dérives sociales, de prendre leurs responsabilités concernant ce phénomène. Ainsi, l’AIS propose que l’on introduise dans la réforme constitutionnelle qui doit être soumise par voie référendaire, des lois qui punissent la pratique de ces actes contre-nature.
Quant à l’extrémisme religieux et la violence, l’A.I.S condamne aussi vivement tout ce qui a trait à ces phénomènes, car l’Islam est une religion de paix, de tolérance et de miséricorde comme le dit Allah dans le Coran : « Et Nous ne t’avons envoyé qu’en miséricorde pour l’univers » (Sourate 21, verset 107).
A cet effet, l’AIS propose la pratique du soufisme comme «seul gage de sécurité pour notre salut car prônant l’excellence dans la foi et le comportement et trouvant aussi ses origines dans l’islam. Car, expliquent Serigne Mame Cheikh Mbacké Khadim Awa Bâ et Cheikh Ahmed Tidiane Niasse, le soufisme a toujours été le facteur de notre stabilité sociopolitique, culturelle et religieuse car conduisant l’individu à une vie d’ascète.
L’AIS s’est également prononcée sur le conflit opposant l’Iran et l’Arabie Saoudite. Condamnant fermement l’exécution de guides religieux chiites faite par l’Arabie Saoudite ainsi que les actes posés par des Iraniens qui ont incendié les locaux de son ambassade à Téhéran, l’AIS souhaite que l’Etat sénégalais, grâce à ses relations fraternelles avec ces deux Etats, intervienne pour que la paix revienne entre l’Iran et l’Arabie Saoudite.
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