Première organisation panafricaine dont les activités sont axées sur la recherche féministe, l’AFARD, traite des questions de développement et d’égalité de genre. La rencontre avec la presse a été « une occasion de partager nos analyses sur les défis actuels du continent dans une perspective de genre », informe Mme Odile Ndoumbé Faye, Secrétaire Exécutive de l’AFARD. Cette association qui veut renforcer le pouvoir d’action des femmes travail sur 5 axes majeurs que sont : « Genre et justice économique », « Genre et gouvernance démocratique », « Genre et violence basées sur le genre », « Genre et changement climatiques », et enfin « Genre et Migration ».
Ces dernières qui abordent la problématique de la gouvernance ont critiqué, le manque de ressources financières qui n’encourage pas la participation des femmes aux élections étant donné que les campagnes nécessite de l’argent. « A l’An 3 d la parité, il faut étendre la parité dans les instances de décisions de la gouvernance économique et sociale du Sénégal pour sécuriser les acquis de l’égalité de genre », plaide Mme Faye selon qui le pari est d'orienter : « les partis politiques pour une révision de leurs textes, les parlements pour la proposition et le vote des lois ; et le gouvernement pour mettre en place un dispositif d’encadrement des femmes politiques et de mise en œuvre des lois nationales et conventions internationales sur l’accès des femmes à la prise de décisions et le plein exercice de leurs droits politiques ».
Et la secrétaire exécutive d'AFARD de conclure qu’ « un partenariat avec les médias et les organisations de la société civile sera aussi lancé autour de la question de la justice économique dans une perspective de genre au Sénégal »
Ces dernières qui abordent la problématique de la gouvernance ont critiqué, le manque de ressources financières qui n’encourage pas la participation des femmes aux élections étant donné que les campagnes nécessite de l’argent. « A l’An 3 d la parité, il faut étendre la parité dans les instances de décisions de la gouvernance économique et sociale du Sénégal pour sécuriser les acquis de l’égalité de genre », plaide Mme Faye selon qui le pari est d'orienter : « les partis politiques pour une révision de leurs textes, les parlements pour la proposition et le vote des lois ; et le gouvernement pour mettre en place un dispositif d’encadrement des femmes politiques et de mise en œuvre des lois nationales et conventions internationales sur l’accès des femmes à la prise de décisions et le plein exercice de leurs droits politiques ».
Et la secrétaire exécutive d'AFARD de conclure qu’ « un partenariat avec les médias et les organisations de la société civile sera aussi lancé autour de la question de la justice économique dans une perspective de genre au Sénégal »