"Nous avons au moins quatre sites où l'on pourra faire de nouvelles villes (…). Pour vous donner une idée, ça va être 8.000 à 10.000 hectares de terre que l’on va devoir aménager", a expliqué Khoudia Mbaye dans une interview parue dans l'édition de mercredi du quotidien Le Populaire.
"Nous avons identifié des réserves, je ne peux pas dire où, mais on en a déjà identifié quelques unes", a ajouté sans plus de détails le ministre de l’Urbanisme et de l’Habitat.
"Mais avant, il faut d’abord s’entendre avec des occupants éventuels pour évaluer. Savoir qui est là, à quel titre, discuter et se concerter. Une fois que ces terres seront libérées, il faudra les aménager et décider si on va en faire des logements ou des parcelles", a-t-elle indiqué.
Les modalités de financement de ces logements sociaux constituent, pour Khoudia Mbaye, un autre préalable. "Cela va faire des dizaines de milliards (FCFA) que très clairement, on ne peut pas mobiliser en un an", a-t-elle noté.
"Il faudra voir comment, avec le la Plan triennal d’investissement public, on va mettre de l’argent et susciter une participation de l’Etat et des privés pour constituer un fonds", a souligné Khoudia Mbaye.
Mme Mbaye a dit que l’identification de ces sites n’a pas été facile du fait du déficit en réserves foncières dans la capitale sénégalaise. "Le problème essentiel qu’on a, c’est qu’on est confronté à un déficit en réserves foncières", a-t-elle encore souligné.
"Sur Dakar, Pikine et Guédiawaye, on n’a pratiquement plus rien. C’est le département de Rufisque qui reste avec beaucoup de convoitises dessus", a signalé le ministre de l'Urbanisme et de l'Habitat.
"Nous avons identifié des réserves, je ne peux pas dire où, mais on en a déjà identifié quelques unes", a ajouté sans plus de détails le ministre de l’Urbanisme et de l’Habitat.
"Mais avant, il faut d’abord s’entendre avec des occupants éventuels pour évaluer. Savoir qui est là, à quel titre, discuter et se concerter. Une fois que ces terres seront libérées, il faudra les aménager et décider si on va en faire des logements ou des parcelles", a-t-elle indiqué.
Les modalités de financement de ces logements sociaux constituent, pour Khoudia Mbaye, un autre préalable. "Cela va faire des dizaines de milliards (FCFA) que très clairement, on ne peut pas mobiliser en un an", a-t-elle noté.
"Il faudra voir comment, avec le la Plan triennal d’investissement public, on va mettre de l’argent et susciter une participation de l’Etat et des privés pour constituer un fonds", a souligné Khoudia Mbaye.
Mme Mbaye a dit que l’identification de ces sites n’a pas été facile du fait du déficit en réserves foncières dans la capitale sénégalaise. "Le problème essentiel qu’on a, c’est qu’on est confronté à un déficit en réserves foncières", a-t-elle encore souligné.
"Sur Dakar, Pikine et Guédiawaye, on n’a pratiquement plus rien. C’est le département de Rufisque qui reste avec beaucoup de convoitises dessus", a signalé le ministre de l'Urbanisme et de l'Habitat.