SETAL.NET - Connue pour ses accointances avec les scandales, l’Ipres se signale à nouveau dans ce sens. Et c’est le quotidien Libération qui débusque la énième nébuleuse qui met sur la sellette l’institution que dirige Alassane Robert Diallo.
En effet, un immeuble dont les travaux confiés à Sertam, ont commencé en avril 2011 au Point E devait être livré à l’Ipres, 18 mois après cette date. Mais selon Libération parcouru par Setal.net, deux ans après, il n’y a eu rien de tel. Car il serait intervenu un désaccord entre la société Sertem et l’Institution de prévoyance de retraite du Sénégal du fait que l’entrepreneur réclamerait une rallonge que ladite intuition refuse de payer.
Pourtant, le contrat prévoyait que l’Ipres applique des pénalités à Sertem en cas de retard dans les travaux, comme c’es le cas. Or, jusqu’à hier, fait remarquer Libération repris par Setal.net, l’Ipres semble réticent à l’idée de poser cet acte. Une attitude qui n’a pas manqué de susciter de folles supputations au sein de l’Ipres d’autant plus que Sertem avait été totalement payée.
L’autre affaire qui risque de défrayer la chronique dans les prochaines heures, c’est le recrutement du nouveau directeur devant remplacer Alassane Robert Diallo qui devait partir à la retraite depuis un lustre. Mais aujourd’hui, tout semble indiqué que l’avis d’appel d’offres lancé à ce sujet, est sur le point d’être infructueux. En tout état de cause, la descente de la Cour des comptes à l'Ipres devrait permettre d’éclaircir quelques zones d'ombres qui émaillent la gestion de cette boite.
En effet, un immeuble dont les travaux confiés à Sertam, ont commencé en avril 2011 au Point E devait être livré à l’Ipres, 18 mois après cette date. Mais selon Libération parcouru par Setal.net, deux ans après, il n’y a eu rien de tel. Car il serait intervenu un désaccord entre la société Sertem et l’Institution de prévoyance de retraite du Sénégal du fait que l’entrepreneur réclamerait une rallonge que ladite intuition refuse de payer.
Pourtant, le contrat prévoyait que l’Ipres applique des pénalités à Sertem en cas de retard dans les travaux, comme c’es le cas. Or, jusqu’à hier, fait remarquer Libération repris par Setal.net, l’Ipres semble réticent à l’idée de poser cet acte. Une attitude qui n’a pas manqué de susciter de folles supputations au sein de l’Ipres d’autant plus que Sertem avait été totalement payée.
L’autre affaire qui risque de défrayer la chronique dans les prochaines heures, c’est le recrutement du nouveau directeur devant remplacer Alassane Robert Diallo qui devait partir à la retraite depuis un lustre. Mais aujourd’hui, tout semble indiqué que l’avis d’appel d’offres lancé à ce sujet, est sur le point d’être infructueux. En tout état de cause, la descente de la Cour des comptes à l'Ipres devrait permettre d’éclaircir quelques zones d'ombres qui émaillent la gestion de cette boite.