Loin d’une réponse du berger à la bergère contre Doudou Wade l’ex président du Groupe parlementaire libéral faisant état d’une indemnité des députés de 150.000 FCFA, celui du groupe parlementaire Benno Bokk Yakkar, Moustaph Diakhaté a aussi fait une proposition : celle de l’abrogation de la loi Ezzan dont les acteurs ne sont personnes d’autres que les membres de l’ancien régime.
Et le député Moustapha Diakhaté ne compte nullement reculer sur cette affaire « J’y suis et j’y travaille » lâche t-il dans l’Observateur, avant de jurer « J’ai posé des actes et je ne peux pas les dévoiler dans la presse. Le moment venu, tout le monde le saura. J’y travaille activement et j’avance. Le moment venu, j’en parlerai et vous saurez que j’ai posé des actes » a-t-il notamment dit.
Pourtant, cela fait 20 ans que l’ancien président du conseil constitutionnel Me Babacar Sèye a été assassiné dans des circonstances électorales en 1993. Et l’ancien président Abdoulaye Wade a été cité parmi les auteurs. Et le 17 février 2005, Abdoulaye Wade a promulgué la loi Ezzan en Conseil des ministres, adoptée par l’Assemblée nationale le 5 janvier de la même année par 70 voix contre 20. Ce texte a permis aux meurtriers de Me Sèye d’être complètement blanchis et de ne plus être menacés par des poursuites judiciaires.
Et le député Moustapha Diakhaté ne compte nullement reculer sur cette affaire « J’y suis et j’y travaille » lâche t-il dans l’Observateur, avant de jurer « J’ai posé des actes et je ne peux pas les dévoiler dans la presse. Le moment venu, tout le monde le saura. J’y travaille activement et j’avance. Le moment venu, j’en parlerai et vous saurez que j’ai posé des actes » a-t-il notamment dit.
Pourtant, cela fait 20 ans que l’ancien président du conseil constitutionnel Me Babacar Sèye a été assassiné dans des circonstances électorales en 1993. Et l’ancien président Abdoulaye Wade a été cité parmi les auteurs. Et le 17 février 2005, Abdoulaye Wade a promulgué la loi Ezzan en Conseil des ministres, adoptée par l’Assemblée nationale le 5 janvier de la même année par 70 voix contre 20. Ce texte a permis aux meurtriers de Me Sèye d’être complètement blanchis et de ne plus être menacés par des poursuites judiciaires.