Comment se tirera, l’actuel DGPN, Abdoulaye Niang, de cette affaire de trafic de drogue, dont il serait impliqué ? A cette interrogation, l’Observateur est en mesure, dans sa livraison d’aujourd’hui, de nous apprendre que qu’Abdoulaye Niang est à sa 2ème fois d’être cité dans ces histoires de trafic de drogue.
En effet, lorsque le commissaire Amadou Moustapha Sarr dit « Toto » avait été arrêté dans le cadre de l’arraisonnement d’un navire de guerre déclassé, était Directeur général de la sûreté nationale(DGSN), des accusations de malversation dans la destination des drogues saisies par l’Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (Orctis) avaient été évoquées.
Abdoulaye Niang était le chef de la section opérationnelle. Toutefois, soutient notre source, ce premier scandale avait été géré en interne et une enquête ouverte à cet effet. C’est suite à cet incident qu’Abdoulaye Niang, comme mesure conservatoire, qu’il a été relevé de ses fonctions de chef de la section opérationnelle de l’Ocrtis, évincé même de la Direction de la Police judiciaire(DPJ) à laquelle il appartenait, reversé à la Direction de la sécurité publique(DSP) et affecté au commissariat urbain den Tambacounda.
Ce fut, rapporte notre interlocuteur, un coup dur pour lui. Même si l’enquête l’a blanchi, il fut ensuite affecté au commissariat central de Thiès, puis à Guediawaye. En mars 2000, les autorités sentent la nécessité de le faire revenir pour diriger l’Ocrtis. Il décline poliment mais fermement l’offre, arguant qu’il a été atteint dans son honneur par ces « accusations fallacieuses » formulées à son encontre rapporte l’Observateur.
En effet, lorsque le commissaire Amadou Moustapha Sarr dit « Toto » avait été arrêté dans le cadre de l’arraisonnement d’un navire de guerre déclassé, était Directeur général de la sûreté nationale(DGSN), des accusations de malversation dans la destination des drogues saisies par l’Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (Orctis) avaient été évoquées.
Abdoulaye Niang était le chef de la section opérationnelle. Toutefois, soutient notre source, ce premier scandale avait été géré en interne et une enquête ouverte à cet effet. C’est suite à cet incident qu’Abdoulaye Niang, comme mesure conservatoire, qu’il a été relevé de ses fonctions de chef de la section opérationnelle de l’Ocrtis, évincé même de la Direction de la Police judiciaire(DPJ) à laquelle il appartenait, reversé à la Direction de la sécurité publique(DSP) et affecté au commissariat urbain den Tambacounda.
Ce fut, rapporte notre interlocuteur, un coup dur pour lui. Même si l’enquête l’a blanchi, il fut ensuite affecté au commissariat central de Thiès, puis à Guediawaye. En mars 2000, les autorités sentent la nécessité de le faire revenir pour diriger l’Ocrtis. Il décline poliment mais fermement l’offre, arguant qu’il a été atteint dans son honneur par ces « accusations fallacieuses » formulées à son encontre rapporte l’Observateur.