SETAL.NET - Après la lettre publiée par nos soins et qui émane du journaliste Cheikh Yérim Seck, la réponse de l’administration pénitentiaire ne s’est pas fait attendre. Selon une source proche de celle-ci qui s’est confié à l’As, si le journaliste a les preuves des sévices dont il dit être victime, il n’a qu’à porter plainte. Poursuivant, elle dira : « la torture est abolie dans les établissements pénitentiaires et on n’acceptera pas d’être l’otage de qui ce soit ».
Parlant des privilèges dont jouissait le journaliste, la source du quotidien l’As lu par Setal.net révèle que Cheikh Yérim Seck recevait des visites de sa femme trois fois par jour. Ce à quoi Diadji Ndiaye a mis un terme en ramenant les heures normales.
S’agissant de son rendez-vous médical du 26 mars dernier, l’administration pénitentiaire fait savoir que le régisseur Diadji Ndiaye a donné l’ordre de l’amener dans le car comme tous les détenus. Ce qui selon la même source, n’était pas du goût de Cheikh Yérim qui d’habitude, prenait le taxi pour se rendre à l’hôpital.
En ce qui concerne l’agression dont il a été victime, c’est parce qu’il a tenté de barrer le passage aux gardes pénitentiaires qui procédaient à une fouille des cellules qu’il a été violenté. A noter que Cheikh Yérim Seck et son confrere Tamsir Jupiter Ndiaye ont été exfiltrés hier et transférés à la prison du Cap manuel.
Parlant des privilèges dont jouissait le journaliste, la source du quotidien l’As lu par Setal.net révèle que Cheikh Yérim Seck recevait des visites de sa femme trois fois par jour. Ce à quoi Diadji Ndiaye a mis un terme en ramenant les heures normales.
S’agissant de son rendez-vous médical du 26 mars dernier, l’administration pénitentiaire fait savoir que le régisseur Diadji Ndiaye a donné l’ordre de l’amener dans le car comme tous les détenus. Ce qui selon la même source, n’était pas du goût de Cheikh Yérim qui d’habitude, prenait le taxi pour se rendre à l’hôpital.
En ce qui concerne l’agression dont il a été victime, c’est parce qu’il a tenté de barrer le passage aux gardes pénitentiaires qui procédaient à une fouille des cellules qu’il a été violenté. A noter que Cheikh Yérim Seck et son confrere Tamsir Jupiter Ndiaye ont été exfiltrés hier et transférés à la prison du Cap manuel.