Le maire de Mermoz-Sacré-Cœur n’est pas encore à l’abri. Barthélémy Dias et deux de ses collaborateurs, jugés puis condamnés à 2 ans d’emprisonnement dont 6 mois ferme, devront s’attendre à leur procès pour les rôles qu’ils ont chacun eu à jouer dans la mort de Ndiaga Diouf. Ndiaga Diouf, ce nervis au compte du Pds, tué par balle, devant les locaux de la mairie de Mermoz-Sacré-Cœur.
Le procureur de la République qui n’a pas approuvé la décision de la justice avait interjeté appel. Ce qu’il a confirmé ce vendredi 3 mars 2017, au cours d’un point de presse tenu au parquet. Au cours de cette rencontre, il a rappelé que l’enquête ouverte avait permis d’auditionner plusieurs personnes. Et cette enquête avait conclu que Barth a tué et que ses deux compagnons en sont les complices. «Bientôt le dossier sera transmis à la Cour d’appel de Dakar», annonce-t-il. Il a toutefois pesté contre ceux qui ont parlé de «manipulation de la justice».
«Je demande est-ce que je parle de politique. Si je dis qu’il (Ndiaga Diouf) est mort à la suite de balle reçue, est-ce que cela est politique ? Il ne s’agit pas d’une affaire politique ! Personne n’est au-dessus de la loi. Les parents du défunt eux ne diront jamais que c’est un procès politique», s’indigne le magistrat, maître des poursuites.
Le procureur de la République qui n’a pas approuvé la décision de la justice avait interjeté appel. Ce qu’il a confirmé ce vendredi 3 mars 2017, au cours d’un point de presse tenu au parquet. Au cours de cette rencontre, il a rappelé que l’enquête ouverte avait permis d’auditionner plusieurs personnes. Et cette enquête avait conclu que Barth a tué et que ses deux compagnons en sont les complices. «Bientôt le dossier sera transmis à la Cour d’appel de Dakar», annonce-t-il. Il a toutefois pesté contre ceux qui ont parlé de «manipulation de la justice».
«Je demande est-ce que je parle de politique. Si je dis qu’il (Ndiaga Diouf) est mort à la suite de balle reçue, est-ce que cela est politique ? Il ne s’agit pas d’une affaire politique ! Personne n’est au-dessus de la loi. Les parents du défunt eux ne diront jamais que c’est un procès politique», s’indigne le magistrat, maître des poursuites.