Ce n’est pas un canular. Kalidou Diallo, dernier ministre de l’Education du régime libéral et farouche défenseur de la Génération du concret, va rejoindre le président de la République pour lui apporter son expertise et son expérience dans le domaine de l’éducation. Son entourage confirme l’information révélée par le journal Rewmi quotidien dans sa livraison d’hier mais en tenant aussi à une précision sémantique qui est d’une importance capitale. «Je ne transhume pas à l’Alliance pour la République, mais je réponds à l’appel du chef de l’Etat», tient à préciser l’ex-ministre de l’Education dont la venue au sein de l’establishment présidentiel est presqu’imminent. Il a fait ces confidences au Parti démocratique sénégalais (Pds) lors d’une rencontre solennelle et aussi à ses militants du Fouta où il devra officialiser «l’accord trouvé» avec Macky Sall.
A Matam, la silhouette avachie de l’ancien syndicaliste devrait faire partie du décorum du Conseil des ministres décentralisé dans une région où les enjeux politico-électoraux sont énormes et avec une rivalité entre d’ex-caciques libéraux qui ont rejoint la mouvance présidentielle. Pour l’instant, Kalidou Diallo réussit à se faufiler entre les contradictions pour réussir son come-back.
En tout cas, il a expliqué tous les contours de son nouvel engagement à l’ex-chef de l’Etat qui lui a donné sa «bénédiction» et «son autorisation» à aller rejoindre le président de la République pour «la bonne marche des intérêts du Sénégal».
Source Lequotidien.sn
A Matam, la silhouette avachie de l’ancien syndicaliste devrait faire partie du décorum du Conseil des ministres décentralisé dans une région où les enjeux politico-électoraux sont énormes et avec une rivalité entre d’ex-caciques libéraux qui ont rejoint la mouvance présidentielle. Pour l’instant, Kalidou Diallo réussit à se faufiler entre les contradictions pour réussir son come-back.
En tout cas, il a expliqué tous les contours de son nouvel engagement à l’ex-chef de l’Etat qui lui a donné sa «bénédiction» et «son autorisation» à aller rejoindre le président de la République pour «la bonne marche des intérêts du Sénégal».
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