L’archevêque de Dakar, Monseigneur Benjamin Ndiaye, a appelé, mardi, à Dakar, la jeunesse à plus de responsabilité et à renforcer l’esprit de partage et de solidarité, "au nom de notre commune dignité".
"Il faut s’atteler à des réflexions et des actions conjuguées, pour un développement solidaire’’, a déclaré Mgr Ndiaye, président de la Conférence épiscopale regroupant le Sénégal, la Mauritanie, le Cap-Vert et la Gambie.
Il intervenait au cours d’un séminaire du réseau Caritas sur "Crise migratoire et droits humains : quels rôles, quelle action pour les Caritas du Sahel, d’Afrique du Nord et d’Europe".
Selon l’archevêque de Dakar, "l’année jubilaire de la miséricorde voulue par le pape François, avec ses réels effets de conscientisation, est en train de produire des fruits de conversion dont il faut tirer le meilleur parti pour renforcer l’esprit de partage et de solidarité".
Il a évoqué les discours et prises de parole de la Conférence épiscopale de la région Nord Afrique, récemment tenue à Tanger (Maroc, 4-5 avril), Mgr Ndiaye dit avoir "perçu quelques défis pastoraux auxquels doivent répondre" les évêques d’Afrique du Nord.
"J’en retiens surtout les questions cruciales posées par les migrations, avec de nombreux Sub-sahariens, étudiants ou simples migrants, à la conquête de la citadelle européenne’’, a-t-il relevé.
Les églises du Maghreb "se sentent interpellées par les situations crées par ces migrations et s’efforcent d’y répondre à travers leurs Caritas. Il y a sans doute, lieu de mieux collaborer dans ce domaine avec les églises au Sud du Sahara, d’où proviennent de nombreux migrants’’, a recommandé l’archevêque de Dakar.
Selon un document remis à la presse, la migration au Sahel, reste la plupart du temps "une migration réactive, ce qui rend complexe l’analyse du processus et du parcours migratoire qui ne cessent de se précariser".
"Ce parcours est difficile à documenter du fait de l’irrégularité qui frappe ces mouvements de personnes et de l’immensité de cette zone semi désertique", ajoute la même source.
"Il faut s’atteler à des réflexions et des actions conjuguées, pour un développement solidaire’’, a déclaré Mgr Ndiaye, président de la Conférence épiscopale regroupant le Sénégal, la Mauritanie, le Cap-Vert et la Gambie.
Il intervenait au cours d’un séminaire du réseau Caritas sur "Crise migratoire et droits humains : quels rôles, quelle action pour les Caritas du Sahel, d’Afrique du Nord et d’Europe".
Selon l’archevêque de Dakar, "l’année jubilaire de la miséricorde voulue par le pape François, avec ses réels effets de conscientisation, est en train de produire des fruits de conversion dont il faut tirer le meilleur parti pour renforcer l’esprit de partage et de solidarité".
Il a évoqué les discours et prises de parole de la Conférence épiscopale de la région Nord Afrique, récemment tenue à Tanger (Maroc, 4-5 avril), Mgr Ndiaye dit avoir "perçu quelques défis pastoraux auxquels doivent répondre" les évêques d’Afrique du Nord.
"J’en retiens surtout les questions cruciales posées par les migrations, avec de nombreux Sub-sahariens, étudiants ou simples migrants, à la conquête de la citadelle européenne’’, a-t-il relevé.
Les églises du Maghreb "se sentent interpellées par les situations crées par ces migrations et s’efforcent d’y répondre à travers leurs Caritas. Il y a sans doute, lieu de mieux collaborer dans ce domaine avec les églises au Sud du Sahara, d’où proviennent de nombreux migrants’’, a recommandé l’archevêque de Dakar.
Selon un document remis à la presse, la migration au Sahel, reste la plupart du temps "une migration réactive, ce qui rend complexe l’analyse du processus et du parcours migratoire qui ne cessent de se précariser".
"Ce parcours est difficile à documenter du fait de l’irrégularité qui frappe ces mouvements de personnes et de l’immensité de cette zone semi désertique", ajoute la même source.