Décédé en 2009, M. G Soumaré a pourtant laissé à sa famille de quoi se nourrir. En effet, il leur a légué une maison en location, deux taxis et un minicar. Au lieu de s’unifier pour gérer ce patrimoine, ses deux veuves n’ont trouvé mieux que de s’entredéchirer, la première accusant la « ñarel » d’avoir fait main basse sur l’héritage. En effet, depuis 4 ans S. Soumaré gère à sa guise l’argent issu de la location et aurait vendu les deux taxis et le mini car pour un préjudice estimé à 16 millions de francs par la partie civile représentée par l’ainée de la première épouse. Des faits que S. Soumaré qui est en détention préventive depuis le 30 janvier dernier conteste avec véhémence. Mais pour le parquet, elle n’est pas blanche comme elle veut le faire croire d’où les deux mois ferme requis à son encontre. La défense a plaide la relaxe pure arguant que la partie civile n’a pas apporté les preuves de ses accusations. L’issue de cette affaire sera connue le 20 février prochain, jour du verdict.
L’héritage de leur défunt époux les conduit au Tribunal
SETAL.NET - M. G Soumaré doit se retourner dans sa tombe. Pour cause, la famille qu’il a laissé derrière lui n’a pas le temps de prier pur lui. Ses querelles de bas étage qui les ont conduits au tribunal ont pris le dessus sur elle.
Abdou Khadre Cissé
Vendredi 14 Février 2014 15:14
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