Libération, qui a consulté le rapport, informe, dans sa livraison de ce mercredi, que l'hôtel en question enregistre ses clients à leur insu au moyen de microphones.
Dans son avis la Cdp signale avoir dit niet au Terrou-Bi qui avait demandé l'autorisation de mettre en place un tel système de surveillance. Une mission sur place a permis de constater que les responsables de l'hôtel ont ignoré les services d'Awa Ndiaye pour installer leur système d'écoute.
Et ce n'est pas tout. D'après toujours les informations glanées par Libération, l'hôtel Terrou-Bi a été épinglé dans le même rapport pour non-respect des formalités préalables à la mise en place d'un système de vidéosurveillance et au traitement du fichier du personnel.