Le 27 juin 2011, le jeune Assane Diop, lutteur de son état tombe sur des rafles et est embarqué manu-militari. Il lui est reproché d’avoir pris part aux casses qui ont fait suite aux coupures intempestives de courant sous l’ère Wade. Ce jeune de 23 ans passe 17 mois à la Mac de Rebeuss dans des conditions difficiles.
Il raconte dans les colonnes du journal Enquête les choses affreuses qu’il a vécues en prison. Mais parmi celles-ci, c’est le fait de voir des hommes faire l’amour qui l’aura le plus marqué. « Des prisonniers faisaient l’amour avec des jeunes hommes, même si la sanction est très sévère pour ceux qui le font...», se remémore Assane Diop. Qui s’est promis de ne plus faire quelque chose qui l’enverra à nouveau en prison.
Le Yeumbeulois révéle en outre que sa mère qui est décédée alors qu’il était en détention préventive, a tout fait pour le sortir de prison. « A maintes reprises, elle a engagé des avocats qui l’ont escroqué et nous avons les preuves de ce que nous avançons. C’est ce qui m’a le plus fait mal », déplore le lutteur qui en veut terriblement aux opposants de l’époque qu’il qualifie de « lâcheurs ».
Il raconte dans les colonnes du journal Enquête les choses affreuses qu’il a vécues en prison. Mais parmi celles-ci, c’est le fait de voir des hommes faire l’amour qui l’aura le plus marqué. « Des prisonniers faisaient l’amour avec des jeunes hommes, même si la sanction est très sévère pour ceux qui le font...», se remémore Assane Diop. Qui s’est promis de ne plus faire quelque chose qui l’enverra à nouveau en prison.
Le Yeumbeulois révéle en outre que sa mère qui est décédée alors qu’il était en détention préventive, a tout fait pour le sortir de prison. « A maintes reprises, elle a engagé des avocats qui l’ont escroqué et nous avons les preuves de ce que nous avançons. C’est ce qui m’a le plus fait mal », déplore le lutteur qui en veut terriblement aux opposants de l’époque qu’il qualifie de « lâcheurs ».