Abdou Latif Coulibaly pense que la république ne s’accommode pas de certaines pratiques. Il faut que les gens retournent à l’orthodoxie. « L’ex-journaliste », comme il se définit, n’accepte pas que le nouveau président de la République, Macky Sall, prête l’avion présidentiel (« La pointe Sarène » en l’occurrence) à l’ex-chef de l’Etat, Me Abdoulaye Wade, pour une durée de 15 jours.
« Cela coute beaucoup d’argent au contribuable sénégalais (800 millions selon le journal L’Observateur). Un avion est moins couteux quand il est sur les airs. Chaque mois qu’il atterrit sur le tarmac d’un aéroport, il paie beaucoup d’argent. Pourquoi, Macky Sall a-t-il alors accepté de lui prêter l’avion pour 15 jours. Ce n’est pas normal. Surtout qu’un ami m’a informé que la résidence du Sénégal à Paris lui est également prêtée », dénonce-t-il.
Abdou Latif Coulibaly rappelle que le président Senghor avait déjà réservé son billet d’avion à Air France avant de céder le pouvoir à Abdou Diouf. Lorsque ce dernier a voulu le raccompagner, il a catégoriquement refusé. C’est finalement Abdou Diouf qui l’a contraint à prendre « La pointe de Sangomar » pour qu’il l’amène en France et revienne immédiatement au Sénégal.
« Mais Senghor n’est pas Abdoulaye Wade. Si on lui laissait l’avion présidentiel pour deux mois, il n’aurait rien dit. Abdoulaye Wade est même capable d’appeler Macky Sall pour lui demander de lui prêter l’avion présidentiel », raille Latif Coulibaly qui indique qui note que Macky Sall est attendu pour apporter des ruptures dans la gestion des biens de l’Etat.
« Cela coute beaucoup d’argent au contribuable sénégalais (800 millions selon le journal L’Observateur). Un avion est moins couteux quand il est sur les airs. Chaque mois qu’il atterrit sur le tarmac d’un aéroport, il paie beaucoup d’argent. Pourquoi, Macky Sall a-t-il alors accepté de lui prêter l’avion pour 15 jours. Ce n’est pas normal. Surtout qu’un ami m’a informé que la résidence du Sénégal à Paris lui est également prêtée », dénonce-t-il.
Abdou Latif Coulibaly rappelle que le président Senghor avait déjà réservé son billet d’avion à Air France avant de céder le pouvoir à Abdou Diouf. Lorsque ce dernier a voulu le raccompagner, il a catégoriquement refusé. C’est finalement Abdou Diouf qui l’a contraint à prendre « La pointe de Sangomar » pour qu’il l’amène en France et revienne immédiatement au Sénégal.
« Mais Senghor n’est pas Abdoulaye Wade. Si on lui laissait l’avion présidentiel pour deux mois, il n’aurait rien dit. Abdoulaye Wade est même capable d’appeler Macky Sall pour lui demander de lui prêter l’avion présidentiel », raille Latif Coulibaly qui indique qui note que Macky Sall est attendu pour apporter des ruptures dans la gestion des biens de l’Etat.