Le palais de justice connait en ce moment un fait insolite, mais assez sérieux pour bloquer les audiences au niveau du tribunal des flagrants délits. En effet, une avocate du nom de Marie Wade, du barreau de Paris, a été mise aux arrêts et amenée dans le box sur ordre de la magistrate Racky Wane qui présidait les audiences. Ce qui a soulevé l’ire de ses collègues avocats qui ont décidé de croiser les bras et ne pas plaider jusqu’à ce qu’elle soit relaxée. Actuellement les deux parties (magistrats et avocats) sont en train d’arrondir les angles et trouver une solution. Cela au grand dam des justiciables obligés d’attendre que la situation se décante.
Selon notre reporter sur place, tout est parti du fait que l’avocate de Paris, accompagnée d’un autre collègue, serait passé par l’autre côté de la barre. A la remarque de la présidente de séance qui leur demandait ce qu’ils faisaient de ce côté de la salle, le gars qui était avec Marie Wade s’est présenté comme avocat et s’est excusé avant de partir. La président Racky Wade a fait la même remarque à l’avocate qui n’était pas en robe tout comme le collègue qui l’accompagnait. Mais cette dernière, après s’être présentée comme avocate, en a rajouté, en soulignant à la présidente du tribunal, qu’elle pense que ce n’est pas de cette manière qu’elle devait s’adresser aux avocats qu’ils sont.
Elle venait de commettre le crime de lèse majesté. La magistrate a aussitôt ordonné aux gendarmes de l’arrêter et de la présenter au tribunal, dans le box des accusés. N’arrangeant pas les choses, l’avocate s’est mise au téléphone, avant que celui-ci ne soit confisquée.
C’est sur ces faits, alors que la présidente de séance refusait catégoriquement de libérer l’avocate, que ses collègues se sont tous mobilisés pour lui apporter leur soutien, en refusant que l’audience ne se poursuive. Il a fallu même que le bâtonnier rapplique sur les lieux.
En ce moment, les négociations se poursuivent à l’intérieur du Tribunal. Et selon notre reporter, les avocats sont décidés à bouder les audiences en flagrant délit si une solution n’est pas trouvée. Preuve que la situation est compliquée, on vient de demander aux journalistes de vider la salle.
Encore un incident qui ne risque pas de faciliter la « réconciliation » entre magistrats et avocats, après la fameuse affaire Mame Adama Guèye qui avait dénoncé l’existence de corruption dans la magistrature.
Selon notre reporter sur place, tout est parti du fait que l’avocate de Paris, accompagnée d’un autre collègue, serait passé par l’autre côté de la barre. A la remarque de la présidente de séance qui leur demandait ce qu’ils faisaient de ce côté de la salle, le gars qui était avec Marie Wade s’est présenté comme avocat et s’est excusé avant de partir. La président Racky Wade a fait la même remarque à l’avocate qui n’était pas en robe tout comme le collègue qui l’accompagnait. Mais cette dernière, après s’être présentée comme avocate, en a rajouté, en soulignant à la présidente du tribunal, qu’elle pense que ce n’est pas de cette manière qu’elle devait s’adresser aux avocats qu’ils sont.
Elle venait de commettre le crime de lèse majesté. La magistrate a aussitôt ordonné aux gendarmes de l’arrêter et de la présenter au tribunal, dans le box des accusés. N’arrangeant pas les choses, l’avocate s’est mise au téléphone, avant que celui-ci ne soit confisquée.
C’est sur ces faits, alors que la présidente de séance refusait catégoriquement de libérer l’avocate, que ses collègues se sont tous mobilisés pour lui apporter leur soutien, en refusant que l’audience ne se poursuive. Il a fallu même que le bâtonnier rapplique sur les lieux.
En ce moment, les négociations se poursuivent à l’intérieur du Tribunal. Et selon notre reporter, les avocats sont décidés à bouder les audiences en flagrant délit si une solution n’est pas trouvée. Preuve que la situation est compliquée, on vient de demander aux journalistes de vider la salle.
Encore un incident qui ne risque pas de faciliter la « réconciliation » entre magistrats et avocats, après la fameuse affaire Mame Adama Guèye qui avait dénoncé l’existence de corruption dans la magistrature.