La liturgie du Vendredi saint commémore la Passion de Jésus-Christ et sa mort en croix. C'est-à-dire son supplice et son exécution, son testament, son ultime prière, son amour rédempteur, la fondation du royaume de Dieu et de la nouvelle création.
L'Église préconise de jeûner le Vendredi saint, et à tout le moins de manger maigre (pas de viande en particulier) elle préconise aussi l'abstinence, de façon à mieux s'unir aux souffrances rédemptrices du Christ. Les chrétiens sont aussi invités à participer au Chemin de Croix. Les crucifix et parfois les statues sont voilées jusqu'à la célébration de Pâques.
Le Vendredi saint suscite aussi l’attention à la mère de Jésus, présente au calvaire où son Fils meurt (Jn 19, 25-27). Dans l’actuel missel romain, les lectures du 15 septembre reprennent les lectures du vendredi saint, c’est en soi une discrète invitation à vivre le vendredi saint dans la lumière mariale du 15 septembre (mémoire de Notre Dame des douleurs).
L'Église préconise de jeûner le Vendredi saint, et à tout le moins de manger maigre (pas de viande en particulier) elle préconise aussi l'abstinence, de façon à mieux s'unir aux souffrances rédemptrices du Christ. Les chrétiens sont aussi invités à participer au Chemin de Croix. Les crucifix et parfois les statues sont voilées jusqu'à la célébration de Pâques.
Le Vendredi saint suscite aussi l’attention à la mère de Jésus, présente au calvaire où son Fils meurt (Jn 19, 25-27). Dans l’actuel missel romain, les lectures du 15 septembre reprennent les lectures du vendredi saint, c’est en soi une discrète invitation à vivre le vendredi saint dans la lumière mariale du 15 septembre (mémoire de Notre Dame des douleurs).