« La caravane ne pourra pas ramener la paix, c’est juste du folklore maquillé de politique qui ne fera qu’empirer la situation » a déclaré le Coordonnateur de « Y’en a marre » de Bignona. Il est d’avis que la manière de procéder des caravaniers va plutôt augmenter « la frustration de la population et des combattants, au moment où ces derniers pensent à l’indépendance de la Casamance et attendent du gouvernement des réalisations concrètes ».
D’une part, il est reproché à Balla 2 et ses amis d’être non seulement entrés dans Bignona avec des battements de tam-tams mais de s’être trompés de cibles en allant discuter avec des imams et des curés au lieu des principaux concernés à savoir les chefs rebelles. « Salif Sadio, ils devaient aller le voir et essayer de faire en sorte qu’il s’associe à la recherche de la paix. Il faudrait qu’ils prennent contact avec les vrais combattants pour pouvoir aspirer à une paix. Mais ce n’est pas en faisant du folklore que la paix va revenir en Casamance » a-t-il martelé. D’autre part, les Y’en a maristes trouvent le temps que la caravane a passé à Bignona trop court alors que cette zone est la plus marquée par les attaques rebelles.
« Entrés vers 13 heures à Bignona, ils sont allés chez l’imam avec des tam-tams, puis chez le curé de la paroisse de Bignona. Ensuite, ils sont partis à Cap-Skiring, alors que les choses se passent ici dans le département de Bignona, dans le Fogny. Et récemment même, il y a eu des attaques à Diouloulou et autres. Ils devaient en profiter pour faire en sorte que les attaques ne reviennent plus et éviter de verser dans le folklore. Vraiment cela nous fait très mal. Les vrais débats devaient être posé » a conseillé Momar Ndiaye.
source Piccmi.com
D’une part, il est reproché à Balla 2 et ses amis d’être non seulement entrés dans Bignona avec des battements de tam-tams mais de s’être trompés de cibles en allant discuter avec des imams et des curés au lieu des principaux concernés à savoir les chefs rebelles. « Salif Sadio, ils devaient aller le voir et essayer de faire en sorte qu’il s’associe à la recherche de la paix. Il faudrait qu’ils prennent contact avec les vrais combattants pour pouvoir aspirer à une paix. Mais ce n’est pas en faisant du folklore que la paix va revenir en Casamance » a-t-il martelé. D’autre part, les Y’en a maristes trouvent le temps que la caravane a passé à Bignona trop court alors que cette zone est la plus marquée par les attaques rebelles.
« Entrés vers 13 heures à Bignona, ils sont allés chez l’imam avec des tam-tams, puis chez le curé de la paroisse de Bignona. Ensuite, ils sont partis à Cap-Skiring, alors que les choses se passent ici dans le département de Bignona, dans le Fogny. Et récemment même, il y a eu des attaques à Diouloulou et autres. Ils devaient en profiter pour faire en sorte que les attaques ne reviennent plus et éviter de verser dans le folklore. Vraiment cela nous fait très mal. Les vrais débats devaient être posé » a conseillé Momar Ndiaye.
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