Les listes rejetées l’ont-elles été par défaut de formation ou par contrainte de temps ? En tout cas, la maîtrise du nouveau Code électoral, assez technique d’ailleurs pour les Municipales et Départementales, semble faire défaut chez certaines formations politiques dans certaines localités comme Vélingara où il n’y aura pas d’élection de liste majoritaire au niveau départemental parce que les différents partis n’ont pas pris en compte les suppléants. A moins que les recours sauvent la face, c’est quand même un fait inédit qui lève le voile sur la compréhension que les candidats ont de cette élection.
Les séances de formations organisées par la direction de la Formation du ministère de l’Intérieur n’ont vraisemblablement pas eu l’effet escompté. Et force est de reconnaître que le temps à sérieusement fait défaut si l’on sait que les services de Abdoulaye Daouda Diallo n’avaient qu’un peu plus de 20 jours pour former les acteurs politiques avant le 29 avril, date butoir pour le dépôt des listes. Entre le marteau de la forclusion (gestion du temps) et l’enclume de l’irrecevabilité (satisfaire aux exigences du code), les partis ont fait les frais de la pression qui sous-tend ces élections locales où tout est fait dans la précipitation. Les conséquences dépasseront à coup sûr les cinq prochaines années, car c’est toute la réforme de l’Acte 3 de la décentralisation et la conduite des politiques locales qui en dépendent.
Les séances de formations organisées par la direction de la Formation du ministère de l’Intérieur n’ont vraisemblablement pas eu l’effet escompté. Et force est de reconnaître que le temps à sérieusement fait défaut si l’on sait que les services de Abdoulaye Daouda Diallo n’avaient qu’un peu plus de 20 jours pour former les acteurs politiques avant le 29 avril, date butoir pour le dépôt des listes. Entre le marteau de la forclusion (gestion du temps) et l’enclume de l’irrecevabilité (satisfaire aux exigences du code), les partis ont fait les frais de la pression qui sous-tend ces élections locales où tout est fait dans la précipitation. Les conséquences dépasseront à coup sûr les cinq prochaines années, car c’est toute la réforme de l’Acte 3 de la décentralisation et la conduite des politiques locales qui en dépendent.