Pendant deux jours, les cours vont vaquer au Lycée moderne de Dahra, du fait d’un mouvement de grève des potaches qui réclament des professeurs.
Les élèves du lycée moderne de Dahra ont décrété un mouvement de grève de 48 heures renouvelables pour dénoncer un manque criard de professeurs. Ce lundi, les candidats au Bac sont montés au créneau pour réclamer aux autorités scolaires un professeur de philosophie. Réunis en assemblée générale au sein de leur établissement, les élèves invitent les autorités à trouver des solutions à leurs préoccupations. «Il est temps de réagir chers camarades. Notre lycée qui compte six classes de terminale pour un seul professeur dans l’établissement qui ne peut qu’enseigner trois classes, nous disons que c’est inadmissible», déclare Ibrahima Ka, porte parole des élèves.
La goutte d’eau qui a fait déborder le vase est, selon le porte-parole du jour, l’affectation par-dessus la tête du proviseur et de l’inspecteur d’académie d’un professeur de philosophie au cours du mois d’octobre. Le départ de ce dernier a créé un vide au niveau du lycée où trois classes de terminale n’ont pas démarré le programme, soit 21 heures de déficit. Conscient que la philosophie est une discipline-clé pour l’obtention du baccalauréat, les potaches réclament le plus rapidement possible un professeur de philosophie.
«Ce mot d’ordre de 48 heures n’est qu’une annonce de notre plan d’action. Nous irons jusqu’à paralyser tout le système éducatif de la commune, si les autorités continuent de faire la sourde oreille», menacent les grévistes.
Les élèves réclament aussi un professeur de physique chimie car, selon eux, le seul affecté au lycée a déjà 30 heures de cours.
En attendant la résolution de ce problème lié au manque de professeurs, l’inquiétude des élèves et le risque de perturbation des apprentissages pèsent sur l’institution, réputée être un établissement d’excellence avec ses bons résultats enregistrés ces trois dernières années.
Les élèves du lycée moderne de Dahra ont décrété un mouvement de grève de 48 heures renouvelables pour dénoncer un manque criard de professeurs. Ce lundi, les candidats au Bac sont montés au créneau pour réclamer aux autorités scolaires un professeur de philosophie. Réunis en assemblée générale au sein de leur établissement, les élèves invitent les autorités à trouver des solutions à leurs préoccupations. «Il est temps de réagir chers camarades. Notre lycée qui compte six classes de terminale pour un seul professeur dans l’établissement qui ne peut qu’enseigner trois classes, nous disons que c’est inadmissible», déclare Ibrahima Ka, porte parole des élèves.
La goutte d’eau qui a fait déborder le vase est, selon le porte-parole du jour, l’affectation par-dessus la tête du proviseur et de l’inspecteur d’académie d’un professeur de philosophie au cours du mois d’octobre. Le départ de ce dernier a créé un vide au niveau du lycée où trois classes de terminale n’ont pas démarré le programme, soit 21 heures de déficit. Conscient que la philosophie est une discipline-clé pour l’obtention du baccalauréat, les potaches réclament le plus rapidement possible un professeur de philosophie.
«Ce mot d’ordre de 48 heures n’est qu’une annonce de notre plan d’action. Nous irons jusqu’à paralyser tout le système éducatif de la commune, si les autorités continuent de faire la sourde oreille», menacent les grévistes.
Les élèves réclament aussi un professeur de physique chimie car, selon eux, le seul affecté au lycée a déjà 30 heures de cours.
En attendant la résolution de ce problème lié au manque de professeurs, l’inquiétude des élèves et le risque de perturbation des apprentissages pèsent sur l’institution, réputée être un établissement d’excellence avec ses bons résultats enregistrés ces trois dernières années.