Ressuscitée par l’actuel régime pour traquer les biens mal acquis des dignitaires de l’ancien régime, la Cour de répression de l’enrichissement illicite semble apeurer les magistrats qui ont le profil pour y siéger. Ce, malgré l’indemnité spéciale allouée à ses membres.
Notons que la juridiction est composée d’un président et de quatre assesseurs, d’un procureur spécial assisté d’un substitut, d’une commission d’instruction comprenant un président, trois juges avec leurs suppléants et d’un greffier. Les conditions pour être éligible : les magistrats intéressés doivent avoir au moins dix ans d’expérience professionnelle et n’avoir jamais fait l’objet de procédure disciplinaire.
Des magistrats qui répondent à ces critères sont légion mais jusque-là, selon le quotidien Enquete lu par Setal.net, aucune souscription n’a été enregistrée. Peut être que les magistrales craignent pour leur vie d’autant que tous les leurs qui avaient siégé à l’ancienne juridiction sont passés de vie à trépas. Et en même temps.
Notons que la juridiction est composée d’un président et de quatre assesseurs, d’un procureur spécial assisté d’un substitut, d’une commission d’instruction comprenant un président, trois juges avec leurs suppléants et d’un greffier. Les conditions pour être éligible : les magistrats intéressés doivent avoir au moins dix ans d’expérience professionnelle et n’avoir jamais fait l’objet de procédure disciplinaire.
Des magistrats qui répondent à ces critères sont légion mais jusque-là, selon le quotidien Enquete lu par Setal.net, aucune souscription n’a été enregistrée. Peut être que les magistrales craignent pour leur vie d’autant que tous les leurs qui avaient siégé à l’ancienne juridiction sont passés de vie à trépas. Et en même temps.