Dans l’histoire des nations, il est des moments où il est bon de s’arrêter, de contempler le chemin parcouru et de faire un bilan des ambitions par rapport aux réalisations. Auparavant, cette analyse pour être percutante doit être précédée d’une étude des hommes et des femmes qui ont créé, conduit et marqué le régime en place. Soyons fiers de nous même, de ce que nous sommes et de se que nous faisons. Il n’y a que des exemples d’abnégation et de dévouement à la nation parmi nous.
Au-delà de l’évidente place centrale et prépondérante qu’occupe le Chef de l’Etat, force est de reconnaitre qu’une touche féminine de premier choix est en train de façonner notre marche certaine vers l’émergence. En effet, au moment où notre pays se remet lentement mais surement de douze années de gestion libérale, au moment où notre pays est marqué par des batailles politiques et un environnement géopolitique tendu, un îlot de bonté, un îlot simplicité, une Diongoma bien de chez nous de part ses tiourayes, son yeurmeundé et son kerssa nous retourne nos espoirs en un lendemain meilleur.
Oui, ce régime à la différence de ceux qui l’ont précédé est béni de cette forte présence féminine. Discrète dans ses conseils, sérieuse dans son rôle, dévouée à son peuple, Madame Marième Faye Sall est notre « Dame de Cœur ». Les mauvaises langues lui reprochent une trop grande influence sur son Président de mari, mais quel homme marié ne fait pas confiance à la mère des ses enfants ? Quel homme digne de ce nom, n’a pas pour dernier conseiller la personne qui se dévoue corps et âme à son bonheur ?
Pourtant rarement fondation n’a autant fait en si peu de temps pour les démunis de notre cher Sénégal.
Pourquoi ces même mauvaises langues ne parlent elles pas des nombreux billets d’avion pour les pèlerinages à la Mecque et à Rome distribués à ceux qui n’auraient surement jamais pu y aller ? Pourquoi ces même mauvaises langues ne parlent elles pas des innombrables frais d’hospitalisation pris en charge par notre « Dame de Cœur » et sa fondation ? Pourquoi ces mêmes mauvaises langues veulent elles minimiser le sacrifice d’études et d’une possible carrière personnelle au profit des ambitions de son mari et du bonheur de ses enfants ?
Je dis aujourd’hui et solennellement, peuple du 25 Mars 2012, portons avec fierté notre « Dame de Cœur » au devant de tout ce que nous faisons.
Ndax fii niu dieum mo dax fii niu diogué té djiguen bou meun goor ming niu goungué
Mansour Niasse
Coordonnateur Adjoint des Cadres républicains de Dakar
Au-delà de l’évidente place centrale et prépondérante qu’occupe le Chef de l’Etat, force est de reconnaitre qu’une touche féminine de premier choix est en train de façonner notre marche certaine vers l’émergence. En effet, au moment où notre pays se remet lentement mais surement de douze années de gestion libérale, au moment où notre pays est marqué par des batailles politiques et un environnement géopolitique tendu, un îlot de bonté, un îlot simplicité, une Diongoma bien de chez nous de part ses tiourayes, son yeurmeundé et son kerssa nous retourne nos espoirs en un lendemain meilleur.
Oui, ce régime à la différence de ceux qui l’ont précédé est béni de cette forte présence féminine. Discrète dans ses conseils, sérieuse dans son rôle, dévouée à son peuple, Madame Marième Faye Sall est notre « Dame de Cœur ». Les mauvaises langues lui reprochent une trop grande influence sur son Président de mari, mais quel homme marié ne fait pas confiance à la mère des ses enfants ? Quel homme digne de ce nom, n’a pas pour dernier conseiller la personne qui se dévoue corps et âme à son bonheur ?
Pourtant rarement fondation n’a autant fait en si peu de temps pour les démunis de notre cher Sénégal.
Pourquoi ces même mauvaises langues ne parlent elles pas des nombreux billets d’avion pour les pèlerinages à la Mecque et à Rome distribués à ceux qui n’auraient surement jamais pu y aller ? Pourquoi ces même mauvaises langues ne parlent elles pas des innombrables frais d’hospitalisation pris en charge par notre « Dame de Cœur » et sa fondation ? Pourquoi ces mêmes mauvaises langues veulent elles minimiser le sacrifice d’études et d’une possible carrière personnelle au profit des ambitions de son mari et du bonheur de ses enfants ?
Je dis aujourd’hui et solennellement, peuple du 25 Mars 2012, portons avec fierté notre « Dame de Cœur » au devant de tout ce que nous faisons.
Ndax fii niu dieum mo dax fii niu diogué té djiguen bou meun goor ming niu goungué
Mansour Niasse
Coordonnateur Adjoint des Cadres républicains de Dakar