Suite à l’ultimatum de 72 heures donné aux pontes de l’ancien régime qui détiendraient des véhicules appartenant à l’Etat, le procureur s’est autosaisi et a actionné la Division des investigations criminelles. Qui n’a pas mis du temps pour mettre la main sur des véhicules qu’on aurait dissimulés à l’école nationale de formation maritime. Mais selon Libération, ce qui a le plus intrigué les enquêteurs, c’est que les personnes retrouvées sur les lieux ont refusé de livrer la moindre information sur l’origine de ces véhicules. Mais toujours est-il que ces véhicules ont été immobilisés sur instruction du ministère public. Et une enquête ouverte pour élucider cette affaire. C’est sur ces entrefaites que le Dage du ministère de l’Economie Maritime a écrit aux limiers pour soutenir que ces véhicules sont la propriété du ministère non sans jurer qu’il ne s’agissait pas de dissimilation de bien public. Outre ces quatre véhicules, Libération nous apprend qu'un controle de de routine a permis aux policiers d'immobiliser trois autres véhicules sans plaque.
Samuel Sarr arrêté à l'AIBD
