Les autorités judiciaires de la France, notamment, l’Office central pour la répression de la grande délinquance financière(Ocrgdf) est contre la méthode que la Cour de répression et de l’enrichissement illicite(Crei) utilise pour détecter les avoirs du fils de Wade, Karim en France. A propos de ces recherches, renseigne le Tribune, on indique que la goutte d’eau qui a fait déborder le vase provient des méthodes utilisées pour récupérer les présumés avoirs de Karim Wade en France.
Le Sénégal, au lieu de confier ce volet aux enquêteurs et magistrats à l’(Ocrgdf), dans leur entre-aide judiciaire, leurs homologues de la (Crei) versent dans la précipitation pour ne rien découvrir en fin de compte.
Selon des sources du journal du Groupe D Média, des immeubles avaient été répertoriés comme faisant partie du patrimoine français de l’ex ministre d’Etat, mais n’ont pas pu être confirmés après l’’enquête.
Et aujourd’hui, poursuivent-elles, si la France commence à faire de sérieux réserves par rapport à l’attitude de la Crei, c’est qu’avec ce rythme des enquêteurs sénégalais, l’on a l’impression que les règles qui régissent l’entre-aide judiciaire entre les deux pays ne sont pas respectées par le Parquet spécial du Sénégal.
Aujourd’hui, les hautes autorités qui luttent contre la délinquance financière à la hiérarchie a irrité les plus hautes autorités judiciaires françaises qui s’en sont ouvertes à l’Etat du Sénégal. Car, l'Hexagone ne veut plus suivre aveuglément le Sénégal, dans sa façon de rechercher les preuves.
Le Sénégal, au lieu de confier ce volet aux enquêteurs et magistrats à l’(Ocrgdf), dans leur entre-aide judiciaire, leurs homologues de la (Crei) versent dans la précipitation pour ne rien découvrir en fin de compte.
Selon des sources du journal du Groupe D Média, des immeubles avaient été répertoriés comme faisant partie du patrimoine français de l’ex ministre d’Etat, mais n’ont pas pu être confirmés après l’’enquête.
Et aujourd’hui, poursuivent-elles, si la France commence à faire de sérieux réserves par rapport à l’attitude de la Crei, c’est qu’avec ce rythme des enquêteurs sénégalais, l’on a l’impression que les règles qui régissent l’entre-aide judiciaire entre les deux pays ne sont pas respectées par le Parquet spécial du Sénégal.
Aujourd’hui, les hautes autorités qui luttent contre la délinquance financière à la hiérarchie a irrité les plus hautes autorités judiciaires françaises qui s’en sont ouvertes à l’Etat du Sénégal. Car, l'Hexagone ne veut plus suivre aveuglément le Sénégal, dans sa façon de rechercher les preuves.