Les travailleurs ainsi que le directeur de ZIK FM ont dénoncé cet acte de sabotage auquel s’attèlent des personnes tapies dans l’ombre. Mais à qui profite le crime ?
Il n’est guère nécessaire d’être dans le secret des dieux pour savoir que le pouvoir en place n’est pas dans la logique d’un bon déroulement du scrutin. Ce, d’autant plus que les reporters de la ZIK FM se sont fait injuriés par des militants libéraux et des Thiantacounes au centre de Point E où Abdoulaye Wade a voté ce matin. Mieux, avant ces injures, une certaine presse nourrie et bien entretenue par le pouvoir a « ébruité son scoop du siècle « qui met la presse privée au centre d’une machination de l’opinion ».
Selon ces « journalistes » favorables au régime, d’autres confrères seraient en train d’ourdir un plan pour mettre Macky Sall au pouvoir. Ce qui naturellement, est archi-faux d’autant que cette presse libre n’a pas les moyens d’installer untel ou un autre au palais de la République. Son tort, c’est faire son travail comme les lui demandent les principes sacro-saints du métier de journalisme.
Mais juste dire à ces gens qui sont contre ce nouveau pas du Sénégal vers la démocratie qu’on n’arrête pas la mer avec ses bras. La presse fera son travail malgré nonobstant les intimidations d’où qu’elles puissent venir.
Il n’est guère nécessaire d’être dans le secret des dieux pour savoir que le pouvoir en place n’est pas dans la logique d’un bon déroulement du scrutin. Ce, d’autant plus que les reporters de la ZIK FM se sont fait injuriés par des militants libéraux et des Thiantacounes au centre de Point E où Abdoulaye Wade a voté ce matin. Mieux, avant ces injures, une certaine presse nourrie et bien entretenue par le pouvoir a « ébruité son scoop du siècle « qui met la presse privée au centre d’une machination de l’opinion ».
Selon ces « journalistes » favorables au régime, d’autres confrères seraient en train d’ourdir un plan pour mettre Macky Sall au pouvoir. Ce qui naturellement, est archi-faux d’autant que cette presse libre n’a pas les moyens d’installer untel ou un autre au palais de la République. Son tort, c’est faire son travail comme les lui demandent les principes sacro-saints du métier de journalisme.
Mais juste dire à ces gens qui sont contre ce nouveau pas du Sénégal vers la démocratie qu’on n’arrête pas la mer avec ses bras. La presse fera son travail malgré nonobstant les intimidations d’où qu’elles puissent venir.