La jeunesse, bombe à retardement, c'est ce que nous disons tous et c'est vrai mais nous demandons nous le pourquoi?
Je pense qu'elle vie un désarroi et une perte de repères face à l'ignorance de leurs conditions de vie très difficiles, face à leur exclusion sociale, face au manque de communication autant de choses qui font ressentir aux jeunes une véritable humiliation. Cette dernière va engendrer une haine destructrice, un esprit de remise en cause de tout avec comme seule arme la violence. Et ce qui est grave,c'est que devant ce désespoir,la mort est banalisée et les voies deviennent le terrorisme et l'océan.
Nous sommes tous interpelés et nous n'avons plus le droit d'ignorer cette souffrance des jeunes au risque de les priver de leurs raisons de vivre.
Pour désamorcer cette bombe il nous faut comprendre leur désespoir et leur souffrance, réduire les inégalités en développant des politiques à même de leur trouver du travail et aussi partager les richesses. Il faut que notre croissance profite à tout le monde et plus particulièrement à la frange la plus importante qui est la jeunesse.
Le jour ou la bombe éclatera, la violence d'État ne fera qu'exacerber la haine mais ne réglera rien. C'est pourquoi j'en appelle à plus de raison et de prise de nos responsabilités et à la parfaite conscience que l'avenir des générations actuelles et futures est entre nos mains.Il faut de grands travaux, plus de présence de nos institutions de financement créés par le chef de l'Etat et une éducation adaptée à nos réalités je veux dire nos besoins.
Nous devons comprendre que l'aide internationale ne sera jamais renforcée et n'est pas la solution. Il faut donc que nous puissions assurer notre développement en comptant sur nos propres forces et sur nos ressources en déterminant nos priorités les plus immédiates et parmi ces dernières, il y a la prise en charge de nos jeunes. Il faut les former,les éduquer,et leur donner une bonne place dans nos politiques économiques. Il faut leur apprendre d'où ils viennent,leur construire un socle et leur rappeler l'histoire de ceux qui ont fait la grandeur de notre nation.C'est pourquoi je pense que le véritable dialogue, doit tourner autour de cette problématique. Les instruments que nous avons,à savoir nos institutions, nos différends codes, nous permettent si nous avons les bons comportements,d'avoir une démocratie consolidée qui n'aura rien à envier à celles appelées grandes. Nous devons nous réunir et mettre notre trop plein d'énergie aux problèmes de développement, aux solutions pour le bien être des populations et le Plan Sénégal émergent est un bon instrument qui doit rassembler.
Il faut le fertiliser et aller vite en prenant les meilleurs d'entre nous.Il est triste de constater la situation que nous vivons et nous sommes tous interpelés car il suffit de lire la presse, de suivre les plateaux de télévisions d'écouter les radios de visiter les réseaux sociaux,pour constater que c'est le même menu : traque des biens mal acquis, Karim Wade,CREi et processus électoral. Que c'est triste et déplorable pour un pays comme le notre avec toutes les ressources humaines qui le composent.
Nous vivons, certains comme moi,une torture pernicieuse, un stress qui, si nous n'étions pas animés d'une foi profonde,nous aurions perdu tout espoir de vivre. Il faut savoir que nos voisins nous dépassent et que, avant de détourner des biens ou de traquer ceux qui les détournent,il faut qu'ils existent d'abord.
De grâce arrêtons nous et parlons développement et mettons en veilleuse si nous ne pouvons pas les éradiquer,les querelles politiques et la cacophonie car il est temps.
Ministre Thierno Lo
Président Alliance pour la Paix et le Développement
Je pense qu'elle vie un désarroi et une perte de repères face à l'ignorance de leurs conditions de vie très difficiles, face à leur exclusion sociale, face au manque de communication autant de choses qui font ressentir aux jeunes une véritable humiliation. Cette dernière va engendrer une haine destructrice, un esprit de remise en cause de tout avec comme seule arme la violence. Et ce qui est grave,c'est que devant ce désespoir,la mort est banalisée et les voies deviennent le terrorisme et l'océan.
Nous sommes tous interpelés et nous n'avons plus le droit d'ignorer cette souffrance des jeunes au risque de les priver de leurs raisons de vivre.
Pour désamorcer cette bombe il nous faut comprendre leur désespoir et leur souffrance, réduire les inégalités en développant des politiques à même de leur trouver du travail et aussi partager les richesses. Il faut que notre croissance profite à tout le monde et plus particulièrement à la frange la plus importante qui est la jeunesse.
Le jour ou la bombe éclatera, la violence d'État ne fera qu'exacerber la haine mais ne réglera rien. C'est pourquoi j'en appelle à plus de raison et de prise de nos responsabilités et à la parfaite conscience que l'avenir des générations actuelles et futures est entre nos mains.Il faut de grands travaux, plus de présence de nos institutions de financement créés par le chef de l'Etat et une éducation adaptée à nos réalités je veux dire nos besoins.
Nous devons comprendre que l'aide internationale ne sera jamais renforcée et n'est pas la solution. Il faut donc que nous puissions assurer notre développement en comptant sur nos propres forces et sur nos ressources en déterminant nos priorités les plus immédiates et parmi ces dernières, il y a la prise en charge de nos jeunes. Il faut les former,les éduquer,et leur donner une bonne place dans nos politiques économiques. Il faut leur apprendre d'où ils viennent,leur construire un socle et leur rappeler l'histoire de ceux qui ont fait la grandeur de notre nation.C'est pourquoi je pense que le véritable dialogue, doit tourner autour de cette problématique. Les instruments que nous avons,à savoir nos institutions, nos différends codes, nous permettent si nous avons les bons comportements,d'avoir une démocratie consolidée qui n'aura rien à envier à celles appelées grandes. Nous devons nous réunir et mettre notre trop plein d'énergie aux problèmes de développement, aux solutions pour le bien être des populations et le Plan Sénégal émergent est un bon instrument qui doit rassembler.
Il faut le fertiliser et aller vite en prenant les meilleurs d'entre nous.Il est triste de constater la situation que nous vivons et nous sommes tous interpelés car il suffit de lire la presse, de suivre les plateaux de télévisions d'écouter les radios de visiter les réseaux sociaux,pour constater que c'est le même menu : traque des biens mal acquis, Karim Wade,CREi et processus électoral. Que c'est triste et déplorable pour un pays comme le notre avec toutes les ressources humaines qui le composent.
Nous vivons, certains comme moi,une torture pernicieuse, un stress qui, si nous n'étions pas animés d'une foi profonde,nous aurions perdu tout espoir de vivre. Il faut savoir que nos voisins nous dépassent et que, avant de détourner des biens ou de traquer ceux qui les détournent,il faut qu'ils existent d'abord.
De grâce arrêtons nous et parlons développement et mettons en veilleuse si nous ne pouvons pas les éradiquer,les querelles politiques et la cacophonie car il est temps.
Ministre Thierno Lo
Président Alliance pour la Paix et le Développement