Le Président directeur général du groupe Walfadjri est plus que jamais déterminé à mener la vie dure au pouvoir en place qui croyait l’avoir remis à sa place le 31 décembre dernier.
Invité de l’émission Taneef de Walftv, Sidy Lamine Niasse a encore vidé son chargeur sur l’homme fort du pays qu’il invite à édifier l’opinion sur son mandat. En effet, alors candidat de Benno Bokk Yaakaar, Macky Sall avait promis de réduire son mandat de 7 ans à 5 ans si toutefois il est élu président de la République. Pour le Mollah de Khar Yalla, il est temps que le prédécesseur de Wade respecte sa parole. Sans quoi, met-il en garde, il risque de subir le même sort que Wade. « S’il tente de revenir sur sa promesse, il saura que l’époque où l’on pouvait se dédire est bien révolue », prévient-il.
Dans cette émission, Sidy Lamine Niasse est également revenu sur les raisons de son arrestation. A l’en croire, l’une des raisons c’est qu’il a eu le courage de commenter le discours du Cardinal Sarr, précisant au passage qu’il ne s’en est pas pris au Clergé catholique. Il a également déploré l’héritage colonial qui fait que la plus grande autorité de l’Eglise est protégée par la loi au détriment des chefs du culte musulman.
Invité de l’émission Taneef de Walftv, Sidy Lamine Niasse a encore vidé son chargeur sur l’homme fort du pays qu’il invite à édifier l’opinion sur son mandat. En effet, alors candidat de Benno Bokk Yaakaar, Macky Sall avait promis de réduire son mandat de 7 ans à 5 ans si toutefois il est élu président de la République. Pour le Mollah de Khar Yalla, il est temps que le prédécesseur de Wade respecte sa parole. Sans quoi, met-il en garde, il risque de subir le même sort que Wade. « S’il tente de revenir sur sa promesse, il saura que l’époque où l’on pouvait se dédire est bien révolue », prévient-il.
Dans cette émission, Sidy Lamine Niasse est également revenu sur les raisons de son arrestation. A l’en croire, l’une des raisons c’est qu’il a eu le courage de commenter le discours du Cardinal Sarr, précisant au passage qu’il ne s’en est pas pris au Clergé catholique. Il a également déploré l’héritage colonial qui fait que la plus grande autorité de l’Eglise est protégée par la loi au détriment des chefs du culte musulman.
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