Adja Astou Cissé, surnommée par ses consœurs « la lionne de l’Apr » est atteinte d’une maladie mystérieuse qui semble se manifester sous forme de rhumatisme qu’elle a attrapé lors de la dernière campagne électorale qui a promu Macky Sall Président de la République. « C’était mon plus grand rêve. Aujourd’hui, ce rêve est devenu un cauchemar car je suis malade et oublié par ceux pour qui j’ai dépensé toute mon énergie et tout mon argent ».
Entourée de toute sa famille, Adja Astou Cissé dit avoir passé les terribles moments de son existence depuis qu’il a commencé à collaborer avec l’Apr. « J’ai été avec Macky Sall depuis le dekkal Ngor. J’ai battu campagne pour lui donner 9 conseillers municipaux à Mbacké. Lors de la campagne électorale pour la dernière présidentielle j’ai vendu tous mes biens. C’était moi qui m’étais chargée de préparer les repas à distribuer dans les bureaux. J’avais une conviction incomparable parce que j’attachais du prix à la victoire de notre leader. J’ai peur d’avoir été attient mystiquement par mes adversaires politiques et je souffre d’une douleur aigue qui me fait mal jusque dans mon âme » fulmine la responsable des femmes apéristes de la commune de Mbacké. Les larmes aux yeux, l’ancienne grande commerçante confiera qu’aucun leader politique de son parti n’est venu lui rendre visite. « Aucun député de mon parti, aucun leader national semble se soucier de moi. Même lorsqu’il distribue du riz ou des moutons lors des événements religieux, je suis oubliée au grand désarroi de ma base politique. Je suis presque paralysé. Mon seul réconfort c’est celui qui m’est donné par mes militants qui ont décidé de rester avec moi » laissera-t-elle entendre.
Faisant le bilan de ses dépenses, Adja Astou Cissé se perd dans les chiffres. « En l’espace de ces trois derniers mois, j’ai dépensé plus de 500 mille francs. Le docteur m’a fait savoir qu’il me faudra faire une opération. Il m’a conseillé d’aller en Europe. Hélas, je n’ai aucun espoir de retrouver l’usage de mes jambes même si je continue à avoir confiance au Président Macky Sall » chuchote la républicaine. Malgré sa désolation Adja Astou Cissé promet de battre campagne pour les prochaines locales depuis son lit car dit-elle « un combat enclenché doit être achevé même s’il faut juste déchanter les ennemis ».
Entourée de toute sa famille, Adja Astou Cissé dit avoir passé les terribles moments de son existence depuis qu’il a commencé à collaborer avec l’Apr. « J’ai été avec Macky Sall depuis le dekkal Ngor. J’ai battu campagne pour lui donner 9 conseillers municipaux à Mbacké. Lors de la campagne électorale pour la dernière présidentielle j’ai vendu tous mes biens. C’était moi qui m’étais chargée de préparer les repas à distribuer dans les bureaux. J’avais une conviction incomparable parce que j’attachais du prix à la victoire de notre leader. J’ai peur d’avoir été attient mystiquement par mes adversaires politiques et je souffre d’une douleur aigue qui me fait mal jusque dans mon âme » fulmine la responsable des femmes apéristes de la commune de Mbacké. Les larmes aux yeux, l’ancienne grande commerçante confiera qu’aucun leader politique de son parti n’est venu lui rendre visite. « Aucun député de mon parti, aucun leader national semble se soucier de moi. Même lorsqu’il distribue du riz ou des moutons lors des événements religieux, je suis oubliée au grand désarroi de ma base politique. Je suis presque paralysé. Mon seul réconfort c’est celui qui m’est donné par mes militants qui ont décidé de rester avec moi » laissera-t-elle entendre.
Faisant le bilan de ses dépenses, Adja Astou Cissé se perd dans les chiffres. « En l’espace de ces trois derniers mois, j’ai dépensé plus de 500 mille francs. Le docteur m’a fait savoir qu’il me faudra faire une opération. Il m’a conseillé d’aller en Europe. Hélas, je n’ai aucun espoir de retrouver l’usage de mes jambes même si je continue à avoir confiance au Président Macky Sall » chuchote la républicaine. Malgré sa désolation Adja Astou Cissé promet de battre campagne pour les prochaines locales depuis son lit car dit-elle « un combat enclenché doit être achevé même s’il faut juste déchanter les ennemis ».