« Notre plus grande gloire n’est point de tomber, mais de savoir nous relever chaque fois que nous tombons » Confucius.
L’heure est venue de mettre un terme à nos antagonismes au profit de l’intérêt supérieur de la patrie, du parti. Sans conteste, le verdict du 26 mars 2012 marque la fin d’une génération au sein du parti et non du Parti Démocratique Sénégalais. Cette génération qui s’est certes battue doit savoir tirer les leçons servies par le peuple sénégalais. Pour cela, l’intérêt suprême de la nation doit prévaloir sur les desideratas égocentriques et surdimensionnés afin de promouvoir l’idéologie du PDS.
Le président WADE, de par sa vision économique et politique a énormément fait pour le Sénégal avec des infrastructures qui parlent d’elles-mêmes. Il faut le reconnaitre, l’arrogance et la gabegie de certains de ses affidés l’ont desservi. Pire, ces derniers n’ont enclenché la moindre introspection pour appréhender les motifs de leurs cuisants bides.
Sur ce fait, les rêvasseries effrénées d’hégémonie, incarnées par un groupuscule de tonneaux vides sévèrement sanctionnés avec à leurs têtes le politicard et soit disant directeur de campagne, Souleymane Ndéné NDIAYE, doivent séance tenante vaquer. Ce cleptomane et paumé de par sa nigauderie, invective ses frères de parti le jour pour en rire sous cap avec son ami d’enfance Macky SALL la nuit.
Ces fourbes ont non seulement emberlificoté le président WADE malgré un bilan plus que satisfaisant mais ils sont des filons disposés à retourner leurs vestes en cas d’invitation au râtelier, si tel n’est pas le cas actuellement. Le sort du PDS ne peut nullement être charpenté sur ces tortues à double rapace.
Attestons le sans ambages, la réorganisation du parti est inéluctable pour redonner avec aplomb du grain à moudre à nos partisans annihilés, réhabiliter à la place qui sied tous les combinards et tartufes furtivement institués responsables.
À ce titre, il advient impérieux de régénérer le PDS par la conduite d’un symposium national afin d’insuffler du sang neuf sur les chartes régentant le parti pour faciliter la floraison et l’émergence de la nouvelle sève montante. Le PDS regorge de jeunes cadres capables de booster et de traduire en acte la vision du président WADE. En effet, la destinée du Sénégal et plus particulièrement de notre formation politique appartient à cette nouvelle génération. Les ainés qui ont déjà servi avec brio le peuple sénégalais doivent pouvoir passer le flambeau à cette jeunesse libérale.
Dans la perspective de cette conférence unitaire, il faudra soit instituer des termes de références résidant sur des fondamentaux concis adoptés par les instances dirigeantes pour les éventuels prétendants à l’investiture. Parmi les indications nous pouvons attester que le leader devra être charismatique, engagé et doit surtout vouer une allégeance à l’endroit du président WADE.
De ce fait, la constitution d’un environnement opportun s’avère vital pour fluidifier les conciliabules afin que le leader plébiscité dans la plus grande diaphanéité par les structures dirigeantes du parti ne puisse languir d’aucune subversion.
L’autre hypothèse consiste à mandater le pouvoir à la base en permettant à tous les membres répertoriés comme faisant partie du PDS aussi bien ceux qui vivent sous le territoire national que ceux qui sont de la diaspora de pouvoir s’exprimer librement. En ce sens, la base pourra être un témoin oculaire des faits étant donné que le verdict émanera des urnes. Cette alternative a pour attribut d’estomper les répulsions et autres algarades.
Ainsi, perpétuer la vision du sire WADE Abdoulaye, symbole du libéralisme en Afrique parait plus qu’une nécessité, une obligation. Sans aucun conteste, le responsable désigné devra surtout concrétiser la vision du président WADE afin de réactiver la populace sénégalaise de son narcose. Ce leader sera d’office le chef de file du parti lors des ultérieures joutes électorales si bien sûr il le désire.
D’ailleurs, il devra embrasser une posture plus accommodante afin de remporter haut la main les échéances électorales qui sont largement à notre portée vu que ce gouvernement sombre dans l’atermoiement. Subséquemment, le président WADE conservera ad vitam aeternam le titre de président honorifique du PDS car sans lui on n’en serait onc à ce stade.
Étant la première force politique de ce pays, le PDS doit savoir et pouvoir indiquer le chemin à suivre en innovant car il sied de rappeler que cette conférence nous propulsera non seulement dans les sphères du pouvoir mais permettra également de mettre hors d’état de nuire ce gouvernement de profanes.
Les sénégalais s’étant pesamment embobelinés de choix, il urge ainsi de recouvrer le temps dilapidé pour enfin déclencher les turbines de l’émergence afin de redorer le blason Sénégal. Toutefois, il faut que ceux qui ont déjà fait leurs preuves au niveau du parti puissent s’effacer car il est impossible de faire du neuf avec du vieux.
Dans tous les cas, le pays va très mal, les attentes les plus basiques de la population ne sont pas prises en compte. Ce régime obscurantiste en mal chronique de popularité accumule les déceptions au point que la rhétorique présidentielle devient de plus en plus assourdissante. Le vécu du bas peuple ne cesse de se détériorer, pire l’asséchement du circuit financier est devenu plus qu’une réalité, le refrain quotidien des sénégalais.
Pour sortir le pays des profondeurs du désespoir, le PDS doit continuer de s’inscrire dans la constance en s’identifiant aux préoccupations des populations étant donné que nous ne sommes plus dans une lutte politique mais plus tôt dans une lutte de libération nationale.
Mettre un terme à ce style de gouvernance tourné uniquement vers les intérêts des dirigeants et libérer la populace prise en otage dans un paupérisme abject devient plus qu’un devoir. Ce traitement superficiel de la souffrance de la plèbe, détenteur de la réelle souveraineté populaire, illustre à n’en plus douter les ingrédients d’un soulèvement populaire imminent…
Éternel Wadiste
Moise RAMPINO
L’heure est venue de mettre un terme à nos antagonismes au profit de l’intérêt supérieur de la patrie, du parti. Sans conteste, le verdict du 26 mars 2012 marque la fin d’une génération au sein du parti et non du Parti Démocratique Sénégalais. Cette génération qui s’est certes battue doit savoir tirer les leçons servies par le peuple sénégalais. Pour cela, l’intérêt suprême de la nation doit prévaloir sur les desideratas égocentriques et surdimensionnés afin de promouvoir l’idéologie du PDS.
Le président WADE, de par sa vision économique et politique a énormément fait pour le Sénégal avec des infrastructures qui parlent d’elles-mêmes. Il faut le reconnaitre, l’arrogance et la gabegie de certains de ses affidés l’ont desservi. Pire, ces derniers n’ont enclenché la moindre introspection pour appréhender les motifs de leurs cuisants bides.
Sur ce fait, les rêvasseries effrénées d’hégémonie, incarnées par un groupuscule de tonneaux vides sévèrement sanctionnés avec à leurs têtes le politicard et soit disant directeur de campagne, Souleymane Ndéné NDIAYE, doivent séance tenante vaquer. Ce cleptomane et paumé de par sa nigauderie, invective ses frères de parti le jour pour en rire sous cap avec son ami d’enfance Macky SALL la nuit.
Ces fourbes ont non seulement emberlificoté le président WADE malgré un bilan plus que satisfaisant mais ils sont des filons disposés à retourner leurs vestes en cas d’invitation au râtelier, si tel n’est pas le cas actuellement. Le sort du PDS ne peut nullement être charpenté sur ces tortues à double rapace.
Attestons le sans ambages, la réorganisation du parti est inéluctable pour redonner avec aplomb du grain à moudre à nos partisans annihilés, réhabiliter à la place qui sied tous les combinards et tartufes furtivement institués responsables.
À ce titre, il advient impérieux de régénérer le PDS par la conduite d’un symposium national afin d’insuffler du sang neuf sur les chartes régentant le parti pour faciliter la floraison et l’émergence de la nouvelle sève montante. Le PDS regorge de jeunes cadres capables de booster et de traduire en acte la vision du président WADE. En effet, la destinée du Sénégal et plus particulièrement de notre formation politique appartient à cette nouvelle génération. Les ainés qui ont déjà servi avec brio le peuple sénégalais doivent pouvoir passer le flambeau à cette jeunesse libérale.
Dans la perspective de cette conférence unitaire, il faudra soit instituer des termes de références résidant sur des fondamentaux concis adoptés par les instances dirigeantes pour les éventuels prétendants à l’investiture. Parmi les indications nous pouvons attester que le leader devra être charismatique, engagé et doit surtout vouer une allégeance à l’endroit du président WADE.
De ce fait, la constitution d’un environnement opportun s’avère vital pour fluidifier les conciliabules afin que le leader plébiscité dans la plus grande diaphanéité par les structures dirigeantes du parti ne puisse languir d’aucune subversion.
L’autre hypothèse consiste à mandater le pouvoir à la base en permettant à tous les membres répertoriés comme faisant partie du PDS aussi bien ceux qui vivent sous le territoire national que ceux qui sont de la diaspora de pouvoir s’exprimer librement. En ce sens, la base pourra être un témoin oculaire des faits étant donné que le verdict émanera des urnes. Cette alternative a pour attribut d’estomper les répulsions et autres algarades.
Ainsi, perpétuer la vision du sire WADE Abdoulaye, symbole du libéralisme en Afrique parait plus qu’une nécessité, une obligation. Sans aucun conteste, le responsable désigné devra surtout concrétiser la vision du président WADE afin de réactiver la populace sénégalaise de son narcose. Ce leader sera d’office le chef de file du parti lors des ultérieures joutes électorales si bien sûr il le désire.
D’ailleurs, il devra embrasser une posture plus accommodante afin de remporter haut la main les échéances électorales qui sont largement à notre portée vu que ce gouvernement sombre dans l’atermoiement. Subséquemment, le président WADE conservera ad vitam aeternam le titre de président honorifique du PDS car sans lui on n’en serait onc à ce stade.
Étant la première force politique de ce pays, le PDS doit savoir et pouvoir indiquer le chemin à suivre en innovant car il sied de rappeler que cette conférence nous propulsera non seulement dans les sphères du pouvoir mais permettra également de mettre hors d’état de nuire ce gouvernement de profanes.
Les sénégalais s’étant pesamment embobelinés de choix, il urge ainsi de recouvrer le temps dilapidé pour enfin déclencher les turbines de l’émergence afin de redorer le blason Sénégal. Toutefois, il faut que ceux qui ont déjà fait leurs preuves au niveau du parti puissent s’effacer car il est impossible de faire du neuf avec du vieux.
Dans tous les cas, le pays va très mal, les attentes les plus basiques de la population ne sont pas prises en compte. Ce régime obscurantiste en mal chronique de popularité accumule les déceptions au point que la rhétorique présidentielle devient de plus en plus assourdissante. Le vécu du bas peuple ne cesse de se détériorer, pire l’asséchement du circuit financier est devenu plus qu’une réalité, le refrain quotidien des sénégalais.
Pour sortir le pays des profondeurs du désespoir, le PDS doit continuer de s’inscrire dans la constance en s’identifiant aux préoccupations des populations étant donné que nous ne sommes plus dans une lutte politique mais plus tôt dans une lutte de libération nationale.
Mettre un terme à ce style de gouvernance tourné uniquement vers les intérêts des dirigeants et libérer la populace prise en otage dans un paupérisme abject devient plus qu’un devoir. Ce traitement superficiel de la souffrance de la plèbe, détenteur de la réelle souveraineté populaire, illustre à n’en plus douter les ingrédients d’un soulèvement populaire imminent…
Éternel Wadiste
Moise RAMPINO