SETAL.NET - Le ministre de la Santé et de l’Action sociale a convié les partenaires du Sénégal à l’atelier de la planification de la Couverture maladie universelle (Cmu) qui doit avoir lieu aujourd’hui à Saly Portudal, à Mbour. Mais il risque d’avoir une surprise dont il se souviendra longtemps.
Selon l’As lu par Setal.net, c’est en fait le frère de la Première dame, par ailleurs patron de la Délégation générale à la protection sociale et à la solidarité nationale (Dgpsn) qui lui dispute ce programme qui compte lui dire ses quatre vérités lors de cet atelier. Et ce, devant ses invités. Pour réussir son coup, Mansour Faye a choisi un homme du sérail, Cheikh Issa Sall qui était le directeur de cabinet du Dr Safiètou Thiam, alors ministre de la Santé.
Si la ministre est convaincue que l’Etat doit s’inspirer du Rwanda où la gestion de la couverture maladie a été assurée avec brio par le ministre de la Santé, la contre-argumentation du camp de Mansour Faye consistera à faire savoir aux partenaires financiers et techniques conviés à cet atelier que les pays qui ont eu à faire des avancées notoires dans le financement de la demande et de l’extension de la Cmu ont confié ce programme à des institutions autonomes. Ce qui est le cas de la Dgpsn.
Selon l’As lu par Setal.net, c’est en fait le frère de la Première dame, par ailleurs patron de la Délégation générale à la protection sociale et à la solidarité nationale (Dgpsn) qui lui dispute ce programme qui compte lui dire ses quatre vérités lors de cet atelier. Et ce, devant ses invités. Pour réussir son coup, Mansour Faye a choisi un homme du sérail, Cheikh Issa Sall qui était le directeur de cabinet du Dr Safiètou Thiam, alors ministre de la Santé.
Si la ministre est convaincue que l’Etat doit s’inspirer du Rwanda où la gestion de la couverture maladie a été assurée avec brio par le ministre de la Santé, la contre-argumentation du camp de Mansour Faye consistera à faire savoir aux partenaires financiers et techniques conviés à cet atelier que les pays qui ont eu à faire des avancées notoires dans le financement de la demande et de l’extension de la Cmu ont confié ce programme à des institutions autonomes. Ce qui est le cas de la Dgpsn.