C'est un événement dont la portée est autant historique que scientifique. Mercredi dernier, des scientifiques ont procédé au retrait de la plaque de marbre qui recouvrait la tombe du Christ dans l'église du Saint-Sépulcre, à Jérusalem. «Nous avons été surpris par la quantité de matériau de remplissage» a déclaré Fredrik Hiebert, archéologue de la National Geographic Society, partenaire de ce projet de restauration du tombeau du Christ, entamé il y a de cela plusieurs mois. Et d'ajouter: «Ce sera une longue analyse scientifique mais nous serons enfin en mesure de voir la surface d'origine sur laquelle, selon la tradition, le corps du Christ a été déposé après sa crucifixion.
Financé par les principales confessions chrétiennes du Saint-Sépulcre, le gouvernement grec et des bienfaiteurs privés, ce projet est né de la nécessité absolue de restaurer l'édifice pour le reconstruire à l'identique, en plus solide. L'humidité et l'importante fréquentation sont les principaux facteurs de détérioration naturelle de cet espace sacré du christianisme.
Le projet de restauration, confié à une équipe grecque, devrait se poursuivre jusqu'au début de l'année 2017. Les plus curieux pourront déjà découvrir le travail des archéologues dans le cadre d'un documentaire diffusé le mois prochain sur la chaîne National Geographic.
Financé par les principales confessions chrétiennes du Saint-Sépulcre, le gouvernement grec et des bienfaiteurs privés, ce projet est né de la nécessité absolue de restaurer l'édifice pour le reconstruire à l'identique, en plus solide. L'humidité et l'importante fréquentation sont les principaux facteurs de détérioration naturelle de cet espace sacré du christianisme.
Le projet de restauration, confié à une équipe grecque, devrait se poursuivre jusqu'au début de l'année 2017. Les plus curieux pourront déjà découvrir le travail des archéologues dans le cadre d'un documentaire diffusé le mois prochain sur la chaîne National Geographic.