Les audits sont une nécessité. C’est l’avis de Landing Savané. « Les audits doivent concerner toute la période allant de 2000 à 2012. Il faudra auditer l’ensemble du système de gouvernance de Wade », suggère le patron d’And Jef. Se voulant transparent, il rabâche : « Je souhaite que l’audit touche à mon ministère en particulier, mais toutes les institutions doivent être concernées. De même que les agences où il y a eu gaspillages incroyables et invraisemblables ». Landing Savané ne s’arrête pas là.
A l’en croire, Macky Sall doit passer à la trappe. « La primature doit être auditée, les ministères. Macky Sall est devenu président, mais il a été ministre, Premier ministre, Président de l’Assemblée nationale. », propose-t-il dans un entretien avec l'Obs lu par Setal.net. Mettant la pédale douce, Landing dit : « Tout n’est pas cependant concerné par les audits ». Il fait allusion aux fameux millions qu’il recevait de Wade pendant des années. « S’il y a un épisode qui me concerne personnellement, c’est le problème de la caisse noire du Président Wade. Tout le monde sait que cette caisse n’est pas sujette à audit. C’est la loi sui donne au Président la latitude de l’utiliser comme bon lui semble. Ces 30 millions ne peuvent pas faire l’objet d’un audit ni de poursuites judiciaires, ce serait illégal », renseigne-t-il avant de révéler que cet argent a servi à soigner des malades.
A l’en croire, Macky Sall doit passer à la trappe. « La primature doit être auditée, les ministères. Macky Sall est devenu président, mais il a été ministre, Premier ministre, Président de l’Assemblée nationale. », propose-t-il dans un entretien avec l'Obs lu par Setal.net. Mettant la pédale douce, Landing dit : « Tout n’est pas cependant concerné par les audits ». Il fait allusion aux fameux millions qu’il recevait de Wade pendant des années. « S’il y a un épisode qui me concerne personnellement, c’est le problème de la caisse noire du Président Wade. Tout le monde sait que cette caisse n’est pas sujette à audit. C’est la loi sui donne au Président la latitude de l’utiliser comme bon lui semble. Ces 30 millions ne peuvent pas faire l’objet d’un audit ni de poursuites judiciaires, ce serait illégal », renseigne-t-il avant de révéler que cet argent a servi à soigner des malades.