C’est après l’accident de sa femme qu’a commencé à germer dans la tête du clerc des soupçons. En effet, victime d’un accident, son épouse se faisait suivre par le médecin-colonel René André Ndiaye de l’hôpital Principal. Sa femme ne lui facilite pas la tache du fait de son refus de se faire accompagner lors de ses séances de massage chez le toubib. Un comportement qui ne fait que nourrir les soupçons du mari qui dans le procès-verbal soutient avoir vu sa femme dans une voiture en compagnie d’un homme qu’il n’a pu identifier. Lorsqu’il en a discuté avec sa tendre, l’affaire a été classée. Pour autant, le clerc était assailli par des doutes. Ainsi, il s’est mis à trifouiller dans le téléphone portable de sa femme des preuves pouvant compromettre cette dernière. Et ce qui devait arriver arriva. Il est tombé sur un message envoyé par son épouse à une de ses amies et dans lequel elle disait que René ne l’aimait plus. Poursuivant, elle faisait savoir à sa confidente que c’était mieux qu’elle se sépare de René. Ce qui a mis la puce à l’oreille de son époux qui, furax, prend son arme et rend une visite inopinée au médecin colonel. Mal lui en prend car il a été maitrisé par le militaire et conduit à la police. Placé sous mandat de dépôt pour menace de mort, violence et voie de fait, le clerc a été hier à la barre du tribunal des flagrants délits de Dakar. Mais c’est demain que les plaidoiries auront lieu. Le médecin-colonel se dit prêt à pardonner au mari jaloux si ce dernier présente ses excuses à la hiérarchie.
Le Clerc supposé cocu menace un médecin-colonel de l’hopital Principal avec une arme à feu
SETAL.NET - Qu’est ce que la jalousie ne fera-t-elle pas fait faire à un homme fou amoureux ? C’est la question que ceux qui ont assisté au procès du clerc d’avocat qui a pointé une arme sur un médecin-colonel de l’hôpital Principal de Dakar. En effet, soupçonnant son épouse de filer le parfait amour avec son médecin traitant sur son dos, le clerc n’a pas hésité une minute pour se rendre à cette structure sanitaire pour menacer son « rival » une arme non chargée. L’affaire qui devait être vidée hier au tribunal des flagrants délits a été renvoyée à demain pour plaidoirie.
Lu sur l'As
Mardi 5 Novembre 2013 10:27
Dans la même rubrique :
{{#item}}
{{/item}}
{{/items}}