Dr Diouf s’exprimait à l’occasion de l’ouverture officielle du premier atelier régional sur la productivité agricole et l’alignement du GCRAI sur le programme détaillé de développement de l’agriculture africaine (PDDAA).
La rencontre de trois jours est organisée à l’initiative du Centre ouest et centre africain pour la recherche agricole et le développement (CORAF/WECARD) et le Forum africain pour la recherche agricole (FARA). L’atelier se déroulera jusqu’à jeudi prochain.
Selon le docteur Macoumba Diouf, ''en Afrique on parle souvent de fuite de cerveaux, de départ des chercheurs, de manque de masse critique,’mais aucune de nos institutions de recherche, en général, n’a l’effectif qui lui faut pour conduire les recherches que nous souhaitons''.
''Nous sommes obligés de nous connecter les uns aux autres avec les systèmes nationaux de recherche’’, a fait remarquer le docteur Diouf.
Malgré cette synergie, il a dit que certaines questions de recherche n’arrivent pas à être réglées, ‘’parce qu’on n’a pas les profils qu’il faut, parce qu’ils sont coûteux souvent à recruter et les budgets des institutions ne permettent pas de recruter toute la masse critique pour attaquer ces questions de recherche. Mais au niveau de ces centres nationaux, il y a ces compétences’’.
‘’Mais au niveau de ces centres nationaux de recherche, il y a quelque part, ces compétences. Donc leur existence se justifie par cette expertise qu’ils peuvent mettre à disposition. Si ces moyens sont mis à disposition et leur expertise n’arrive pas aux systèmes nationaux, c’est comme si, quelque part, ils nous coupaient l’herbe aux pieds’’, s’est désolé Macoumba Diouf.
‘’Il faut qu’on arrive à une meilleure cohérence et une meilleure synergie. Fort heureusement, il est prévu, à travers des projets de coopératives, qui leur permettent de se connecter aux instituts de recherche nationaux, pour venir travailler avec eux, pour que certains aspects soient pris en charge et que les résultats puissent être disponibles pour nos producteurs’’, a conclu le directeur général de l’ISRA
La rencontre de trois jours est organisée à l’initiative du Centre ouest et centre africain pour la recherche agricole et le développement (CORAF/WECARD) et le Forum africain pour la recherche agricole (FARA). L’atelier se déroulera jusqu’à jeudi prochain.
Selon le docteur Macoumba Diouf, ''en Afrique on parle souvent de fuite de cerveaux, de départ des chercheurs, de manque de masse critique,’mais aucune de nos institutions de recherche, en général, n’a l’effectif qui lui faut pour conduire les recherches que nous souhaitons''.
''Nous sommes obligés de nous connecter les uns aux autres avec les systèmes nationaux de recherche’’, a fait remarquer le docteur Diouf.
Malgré cette synergie, il a dit que certaines questions de recherche n’arrivent pas à être réglées, ‘’parce qu’on n’a pas les profils qu’il faut, parce qu’ils sont coûteux souvent à recruter et les budgets des institutions ne permettent pas de recruter toute la masse critique pour attaquer ces questions de recherche. Mais au niveau de ces centres nationaux, il y a ces compétences’’.
‘’Mais au niveau de ces centres nationaux de recherche, il y a quelque part, ces compétences. Donc leur existence se justifie par cette expertise qu’ils peuvent mettre à disposition. Si ces moyens sont mis à disposition et leur expertise n’arrive pas aux systèmes nationaux, c’est comme si, quelque part, ils nous coupaient l’herbe aux pieds’’, s’est désolé Macoumba Diouf.
‘’Il faut qu’on arrive à une meilleure cohérence et une meilleure synergie. Fort heureusement, il est prévu, à travers des projets de coopératives, qui leur permettent de se connecter aux instituts de recherche nationaux, pour venir travailler avec eux, pour que certains aspects soient pris en charge et que les résultats puissent être disponibles pour nos producteurs’’, a conclu le directeur général de l’ISRA