Convoqué par les limiers de la Brigade des affaires générales (Bag), Me El Hadji Amadou Sall a fait savoir à ces derniers, par le biais de ses avocats, qu’il ne comptait pas déférer à la convocation, convoquant ainsi le caractère sain de la journée d’aujourd’hui. Mais les policiers ne l’ont pas entendu de cette oreille. Un détachement de la Brigade d’intervention de Police (Bip) s’est alors rendu chez l’avocat à Ouakam pour le lui faire savoir.
Selon Oumar Sarr du Parti démocratique sénégalais, ils l’ont trouvé en train de pianoter sur son ordinateur portable avant de l’intimer l’ordre de les suivre. En effet, Me Sall n’avait d’autre choix de que s’exécuter. A en croire le coordonateur général du Pds, Me Sall était pied-nus au moment de son arrestation par la Bip qui l’a conduit au Palais de Justice où loge la Bag pour les besoins de son interrogatoire.
Il est reproché à l’ancien ministre de la Justice ses propos tenus contre le chef de l’Etat à l’occasion de la dernière audition de Karim Wade. Me Sall laissait entendre que les auditions du fils de Wade les jeudis avaient un lien avec le fétichisme. Et de demander au Président de la République de « manger » Karim Wade une bonne fois pour toute.
Des propos qui ont eu le don de verser de l’huile sur le feu puisque samedi dernier, le président de la République qui présidait l’Université républicaine des jeunes de l’Apr a déclaré qu’il ne permettra plus des attaques contre l’institution qu’il incarne.
Rappelons que l’offense au chef de l’Etat par quelque moyen que ce soit est punie par l’article 254 du code pénal d’un emprisonnement de 6 mois à 2 ans de prison et une amende de 100 000 à 1 500 000 francs Cfa.
Selon Oumar Sarr du Parti démocratique sénégalais, ils l’ont trouvé en train de pianoter sur son ordinateur portable avant de l’intimer l’ordre de les suivre. En effet, Me Sall n’avait d’autre choix de que s’exécuter. A en croire le coordonateur général du Pds, Me Sall était pied-nus au moment de son arrestation par la Bip qui l’a conduit au Palais de Justice où loge la Bag pour les besoins de son interrogatoire.
Il est reproché à l’ancien ministre de la Justice ses propos tenus contre le chef de l’Etat à l’occasion de la dernière audition de Karim Wade. Me Sall laissait entendre que les auditions du fils de Wade les jeudis avaient un lien avec le fétichisme. Et de demander au Président de la République de « manger » Karim Wade une bonne fois pour toute.
Des propos qui ont eu le don de verser de l’huile sur le feu puisque samedi dernier, le président de la République qui présidait l’Université républicaine des jeunes de l’Apr a déclaré qu’il ne permettra plus des attaques contre l’institution qu’il incarne.
Rappelons que l’offense au chef de l’Etat par quelque moyen que ce soit est punie par l’article 254 du code pénal d’un emprisonnement de 6 mois à 2 ans de prison et une amende de 100 000 à 1 500 000 francs Cfa.