"En politique, les promesses n'engagent que ceux qui les écoutent". La phrase dont la paternité relèverait d'Henri Queuille a fait florès. A croire que les hommes politiques Sénégalais entretiennent un rapport particulier avec la vérité.
Le SENEGAL est un beau pays, un pays où le champion des mensonges n'est pas n'importe qui, c'est un « Jeune »! Face à l'avalanche de la convocation de la Police à son encontre ce « Jeune » nie. C'est un reflexe conditionné. Nier et ne jamais avouer en usant jusqu'à la corde de sa dignité. Quitte à faire porter ce mensonge aux journalistes, pour se mettre à l'abri de toute poursuite judiciaire et pourtant il a bien insulté le Président Macky SALL sur les ondes de la première radio urbaine « Zik FM » interviewé par Ahmet AIDARA. Pour empêcher que le glaive de la justice ne s'abatte sur lui, il dit tendre la main au Président Macky SALL après l’avoir copieusement insulté. Nous disons NON
Les journalistes sénégalais ont beaux dos !
Macky SALL veut moraliser la vie politique, mais peut-on légiférer contre le mensonge? Le simple fait de cacher la vérité implique une condamnation sans appel dans certains pays, dans d'autres ce n'est pas un péché capital. Le "super menteur" au SENEGAL, reste, sans l'ombre d'un doute ce « Jeune » disciple du « Wakh Wakhetisme ».
Mensonge et politique vont souvent de pair partout au SENEGAL, mais il y a l'art et la manière de cacher la vérité et les conséquences de ce péché sont très différentes selon les pays. Dans certains, comme au Royaume-Uni, ce « Jeune » aurait été condamné à l'ex communion politique et croupirait en prison, dans d'autres, comme en Italie, on ne manquerait pas de rappeler que le mensonge n'est pas un péché capital et que le « Jeune » n'est pas le premier membre du PDS à avoir menti avec insistance avant d'être contraint de passer aux aveux. La falsification de la réalité est d’un ordre qu’on pourrait dire supérieur. Le « menteur » croit à son mensonge.
La politique deviendrait-elle une forme du mensonge ? Un exercice d'artifice et d'illusion pour les disciples de Machiavel, à l'écart de la réalité, de la vérité. Fausses promesses de certaines campagnes électorales, insultes devant les cameras et micros. Cette politique mensonge s'appuie sur la propagande ; la confiance dans la démocratie ne renaîtra qu'avec la politique vérité, qu'avec le retour à un code moral qui identifie la politique et l’éthique.
Parfois, je me demande pourquoi nous croyons toujours autant à la moralisation de la vie politique? Cela semble un peu comme le dopage. Vous avez beau tout faire pour que cela reste “propre”, il sera impossible de gérer tout le monde et surtout ceux qui sont prêts à tricher pour y arriver.
Il y a-t-il un mince espoir pour que la situation change ? Il est évident qu’on ne peut compter sur les politiciens pour qu’ils se conforment d’eux-mêmes aux exigences de la vérité. La rentabilité du mensonge a été démontrée tant de fois que celui-ci constitue désormais l’alphabet du langage politique. Chez le politicien d’expérience, le mensonge est devenu une seconde nature, un réflexe. C’est ce réflexe qu’il faut briser. Pour y parvenir, il n’y a qu’un moyen : Renverser le cours de l’histoire et faire en sorte que le discours politique donne désormais des résultats différents. Il faut que la vérité devienne rentable et non pas le mensonge. Seul le peuple a le pouvoir d’effectuer ce changement, en récompensant la vérité et en punissant sévèrement le mensonge.
Patrice SANE, patrice@orange.sn
Militant APR, Membre CCR
Secrétaire Administratif de la CVMP
Le SENEGAL est un beau pays, un pays où le champion des mensonges n'est pas n'importe qui, c'est un « Jeune »! Face à l'avalanche de la convocation de la Police à son encontre ce « Jeune » nie. C'est un reflexe conditionné. Nier et ne jamais avouer en usant jusqu'à la corde de sa dignité. Quitte à faire porter ce mensonge aux journalistes, pour se mettre à l'abri de toute poursuite judiciaire et pourtant il a bien insulté le Président Macky SALL sur les ondes de la première radio urbaine « Zik FM » interviewé par Ahmet AIDARA. Pour empêcher que le glaive de la justice ne s'abatte sur lui, il dit tendre la main au Président Macky SALL après l’avoir copieusement insulté. Nous disons NON
Les journalistes sénégalais ont beaux dos !
Macky SALL veut moraliser la vie politique, mais peut-on légiférer contre le mensonge? Le simple fait de cacher la vérité implique une condamnation sans appel dans certains pays, dans d'autres ce n'est pas un péché capital. Le "super menteur" au SENEGAL, reste, sans l'ombre d'un doute ce « Jeune » disciple du « Wakh Wakhetisme ».
Mensonge et politique vont souvent de pair partout au SENEGAL, mais il y a l'art et la manière de cacher la vérité et les conséquences de ce péché sont très différentes selon les pays. Dans certains, comme au Royaume-Uni, ce « Jeune » aurait été condamné à l'ex communion politique et croupirait en prison, dans d'autres, comme en Italie, on ne manquerait pas de rappeler que le mensonge n'est pas un péché capital et que le « Jeune » n'est pas le premier membre du PDS à avoir menti avec insistance avant d'être contraint de passer aux aveux. La falsification de la réalité est d’un ordre qu’on pourrait dire supérieur. Le « menteur » croit à son mensonge.
La politique deviendrait-elle une forme du mensonge ? Un exercice d'artifice et d'illusion pour les disciples de Machiavel, à l'écart de la réalité, de la vérité. Fausses promesses de certaines campagnes électorales, insultes devant les cameras et micros. Cette politique mensonge s'appuie sur la propagande ; la confiance dans la démocratie ne renaîtra qu'avec la politique vérité, qu'avec le retour à un code moral qui identifie la politique et l’éthique.
Parfois, je me demande pourquoi nous croyons toujours autant à la moralisation de la vie politique? Cela semble un peu comme le dopage. Vous avez beau tout faire pour que cela reste “propre”, il sera impossible de gérer tout le monde et surtout ceux qui sont prêts à tricher pour y arriver.
Il y a-t-il un mince espoir pour que la situation change ? Il est évident qu’on ne peut compter sur les politiciens pour qu’ils se conforment d’eux-mêmes aux exigences de la vérité. La rentabilité du mensonge a été démontrée tant de fois que celui-ci constitue désormais l’alphabet du langage politique. Chez le politicien d’expérience, le mensonge est devenu une seconde nature, un réflexe. C’est ce réflexe qu’il faut briser. Pour y parvenir, il n’y a qu’un moyen : Renverser le cours de l’histoire et faire en sorte que le discours politique donne désormais des résultats différents. Il faut que la vérité devienne rentable et non pas le mensonge. Seul le peuple a le pouvoir d’effectuer ce changement, en récompensant la vérité et en punissant sévèrement le mensonge.
Patrice SANE, patrice@orange.sn
Militant APR, Membre CCR
Secrétaire Administratif de la CVMP