‘’Le PDS est sorti grandi des élections législatives. Mise à part la coalition au pouvoir (Benno Bokk Yaakaar), nous sommes le seul parti à disposer d'un groupe parlementaire à l’Assemblée nationale’’, s’est réjoui l’ex-président de la République.
Le PDS a fait élire 12 députés aux élections législatives de dimanche, selon les résultats provisoires publiés par la Commission nationale de recensement des votes.
''Les députés peuvent s’organiser en groupes, par affinités politiques ; aucun groupe ne peut comprendre moins de dix membres'', stipule le règlement intérieur de l'Assemblée Nationale.
M. Wade présidait une réunion du Comité directeur du PDS. Cette rencontre, qui s'est tenue à son domicile, a vu la participation de plusieurs responsables dudit parti. A cette occasion, il a laissé entendre que les élus du PDS pourraient constituer un groupe parlementaire avec d'autres élus de l'opposition.
‘’Avec 12 parlementaires obtenus dans un contexte difficile avec les audits et autres tentatives de déstabilisation, sans compter également les dissidences au sein du parti, nous sommes la première force politique du Sénégal’’, a déclaré Abdoulaye Wade. Son parti a déposé des recours pour contester les résultats des élections dans certaines circonscriptions électorales, notamment à Mbacké (Centre) et Dagana (Nord).
‘’Benno Bokk Yaakaar (BBY) n’est pas un parti, mais une coalition d’une centaine de partis’’, a-t-il soutenu, parlant de la mouvance présidentielle, qui a fait élire 119 députés sur les 150 de la chambre, selon les résultats provisoirement publiés.
‘’Nous avions décidé de libérer les alliés avant les élections, parce que nous voulions savoir qui est qui […]. Il s’y ajoute les dissensions qui nous ont permis de savoir qui représente quoi, parce que les choses sont claires maintenant’’, a-t-il affirmé devant les membres du Comité directeur du PDS.
Son parti, arrivé au pouvoir en mars 2000, pour régner pendant 12 ans en se faisant réélire en février 2007, a subi une crise sans précédent, après sa défaite au second tour de l'élection présidentielle de février et mars derniers.
De nombreux responsables du parti, dont le président du Sénat, Pape Diop, et le président sortant de l'Assemblée Nationale, Mamadou Seck, ont quitté le PDS, après sa défaite à l'élection présidentielle.
‘’Après les Législatives, j’ai constaté que notre parti est debout, et pourtant, beaucoup de gens avaient prédit sa disparation [après la défaite à la présidentielle]’’, a martelé Abdoulaye Wade.
‘’C’est encore rassurant. Je suis fier de mon parti et je suis content de rester à la tête du parti’’, a déclaré le secrétaire général du PDS, une formation qui n'a jamais connu d'autre leader que lui, depuis sa création en juillet 1974.
Le PDS a fait élire neuf députés au scrutin proportionnel (liste nationale) et trois au scrutin majoritaire (un dans le département de Kédougou et deux à Koungheul), selon les résultats provisoires publiés mercredi par la Commission nationale de recensement des votes.
Abdoulaye Wade n'était pas candidat à la députation. Le parti a été emmené aux élections législatives par l'ancien ministre Oumar Sarr.
Le PDS a fait élire 12 députés aux élections législatives de dimanche, selon les résultats provisoires publiés par la Commission nationale de recensement des votes.
''Les députés peuvent s’organiser en groupes, par affinités politiques ; aucun groupe ne peut comprendre moins de dix membres'', stipule le règlement intérieur de l'Assemblée Nationale.
M. Wade présidait une réunion du Comité directeur du PDS. Cette rencontre, qui s'est tenue à son domicile, a vu la participation de plusieurs responsables dudit parti. A cette occasion, il a laissé entendre que les élus du PDS pourraient constituer un groupe parlementaire avec d'autres élus de l'opposition.
‘’Avec 12 parlementaires obtenus dans un contexte difficile avec les audits et autres tentatives de déstabilisation, sans compter également les dissidences au sein du parti, nous sommes la première force politique du Sénégal’’, a déclaré Abdoulaye Wade. Son parti a déposé des recours pour contester les résultats des élections dans certaines circonscriptions électorales, notamment à Mbacké (Centre) et Dagana (Nord).
‘’Benno Bokk Yaakaar (BBY) n’est pas un parti, mais une coalition d’une centaine de partis’’, a-t-il soutenu, parlant de la mouvance présidentielle, qui a fait élire 119 députés sur les 150 de la chambre, selon les résultats provisoirement publiés.
‘’Nous avions décidé de libérer les alliés avant les élections, parce que nous voulions savoir qui est qui […]. Il s’y ajoute les dissensions qui nous ont permis de savoir qui représente quoi, parce que les choses sont claires maintenant’’, a-t-il affirmé devant les membres du Comité directeur du PDS.
Son parti, arrivé au pouvoir en mars 2000, pour régner pendant 12 ans en se faisant réélire en février 2007, a subi une crise sans précédent, après sa défaite au second tour de l'élection présidentielle de février et mars derniers.
De nombreux responsables du parti, dont le président du Sénat, Pape Diop, et le président sortant de l'Assemblée Nationale, Mamadou Seck, ont quitté le PDS, après sa défaite à l'élection présidentielle.
‘’Après les Législatives, j’ai constaté que notre parti est debout, et pourtant, beaucoup de gens avaient prédit sa disparation [après la défaite à la présidentielle]’’, a martelé Abdoulaye Wade.
‘’C’est encore rassurant. Je suis fier de mon parti et je suis content de rester à la tête du parti’’, a déclaré le secrétaire général du PDS, une formation qui n'a jamais connu d'autre leader que lui, depuis sa création en juillet 1974.
Le PDS a fait élire neuf députés au scrutin proportionnel (liste nationale) et trois au scrutin majoritaire (un dans le département de Kédougou et deux à Koungheul), selon les résultats provisoires publiés mercredi par la Commission nationale de recensement des votes.
Abdoulaye Wade n'était pas candidat à la députation. Le parti a été emmené aux élections législatives par l'ancien ministre Oumar Sarr.