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Le PS n’a pas voix au chapitre !


‘’ Ose dire la vérité : rien ne mérite un mensonge.’’ - George Herbert.

Après avoir mise à sac pendant 40 longues années les finances publiques du Sénégal, en instance de survie le parti socialiste, avec son cortège de maux et de mots, a cru bon devoir pondre un ramassis d’absurdité pour se défaire de cette étiquette, qui leur restera ad vitam aeternam, tatouée comme une colle force sur la peau. Ces vieux vilains boiteux petits canards encore à la traine, s’ils, avaient un tant soit peu du respect envers le peuple sénégalais, n’allaient pas s’adonner à cette acrobatie intellectuelle. Cette insulte à la mémoire collective des sénégalais, délaissés dans un état primitif pendant toute cette décennie de pillage du trésor public, s’avère être la digression de trop.

Cette pantalonnade de ces renégats, comme toujours plus guidés par le contenu de leurs assiettes plutôt que par la raison, ne saurait occulter les effets de leur mal gouvernance dont les méfaits néfastes si criants sont toujours perceptibles. En prêchant le faux pour se refaire une santé sous le soleil du pouvoir, ces prévaricateurs aux idées périmées, font actuellement le pied de grue pour étouffer ce sentiment d’insatisfaction qui ne cesse de se propager comme une trainée de poudre au niveau du bas peuple. En faisant à cœur joie le procès des dignitaires du PDS, ces défaillants torturés par leurs fardeaux rétrospectifs démontrent à bien des égards qu’ils se sont plus que sucrés sur le dos des contribuables sénégalais.

Leurs gouvernances misérables enveloppées d’une chape de plomb, caractérisées par un mélange de régression sociale et de détérioration économique, illustrent les échecs répétitifs de ce parti agonisant en fin de cycle. Au lieu de briller par des envolées lyriques déconnectées de la réalité, ces bouffons doivent s’incliner devant les Sénégalais étant donné que les plaies encore béantes de leurs crimes économiques ne seront jamais cicatrisées malgré les nombreux points de suture du régime libéral. La réalisation la plus concrète du régime socialiste a été l’érection de l’engin de la mort Kaolack-Fatick, confiée à l’époque à l’entrepreneur, Bara Tall.

Le peuple sénégalais, victime de leurs délinquances économiques, continue par milliers de sombrer dans des accidents de la circulation sur ce tronçon. Les auteurs indirects de cette hécatombe pour tenter de se racheter, s’érigent dorénavant comme dans un conte de fée, en donneur de bons et mauvais points. Ce génocide qui ne cesse de s’étendre au fil des semaines, assez moindre par rapport à leurs divagations fétides, ne saurait être imputé au régime libéral. Ce pogrom suffit amplement pour indiquer que la criminalité économique attribuée déraisonnablement aux responsables du PDS, est plus tôt l’apanage des subalternes de l’agent de la France Abdou Diouf.

L’un des rares mérites du régime en place aura été de nous embourber comme du temps des socialistes dans l’asservissement. Leur orientation économique a contribué, en violation flagrante des prescrits légaux prévus, à soumettre tous les importants compartiments de l’économie aux mains des français. Au moment où l’économie peine à déployer ses ailes, les impérialistes français tels un déluge s’empiffrent des marchés de l’État sans appel d’offre.

Et pourtant les 80 milliards de FCFA bradés à Eiffage, les 45 milliards de FCFA du centre de conférence de la francophonie, le retour des militaires français, les 7 milliards accordés à Attias, les terminaux alloués à Nécotrans et Bolloré suffisent à prouver que les intérêts privilégiés des étrangers priment sur tout. Cette part belle faite aux Français ne tombe du ciel puisque le fessu Macky SALL n’est entouré que par des socialistes à savoir Moustapha Niasse et Tanor Dieng, de purs descendants du nègre de service, Léopold Senghor.

Ces agents de l’impérialisme ont ruiné et laissé piller les compagnies nationales, au profit de leurs sociétés d’écrans via lesquelles ils ont accumulé de nombreuses parts d’actions. C’est ainsi que 65% des actions de la Sones ont été bradées en 1996 aux français, les cadres socialistes par le biais de leurs prêtes noms se sont accaparés des 30% ne laissant aux contribuables sénégalais que 5 %. Le même procédé a été utilisé pour toutes les autres entreprises publiques telles que la Sonatel. Cette gigantesque escroquerie a eu le mérite de mettre l’économie sénégalaise complétement à terre.

Devant l'œuvre d'une telle barbarie, le président Wade de par sa sagacité, a dès son arrivée au pouvoir, su changer d’orientation stratégique en mettant sur pied des projets structurants et en privilégiant la remise en état des infrastructures routières, portuaires et aéroportuaires. Ce qui a contribué à renforcer le rayonnement du Sénégal à l’international. La résolution de la crise Malgache est un couronnement de tous les efforts inlassables de ce panafricaniste convaincu.

Fortifier par son parcours politique et doter d’une vision hors du commun, le président Wade a su combler ces 40 ans de retard en semant les germes de la véritable relance économique. C’est ainsi que l’homme le plus diplômé du Caire au Cap, a ressuscité l’espoir d’un peuple jadis confiné dans les fonds apocalyptiques de la désespérance. Pour assurer aux générations présentes et futures un avenir épanoui, le président Wade a construit en 12 ans, à titre d’exemple 48 lycées, 3 universités et a généralisé la bourse à hauteur de 36 000 FCFA. En remettant le pays sur les rails de l’émergence, il a su améliorer le système sanitaire en construisant 35 hôpitaux, 76 centres de santé, 1245 postes de santé et en prenant en charge gratuitement les personnes du 3 éme âge.

Pour enrayer la chute drastique du pouvoir d’achat, il a rehaussé le salaire des vacataires de 35 000 FCFA, leurs indemnités de logement de 60 000 FCFA, non sans passer l’éponge sur la création d’une indemnité d’encadrement pédagogique de 150.000 FCFA et le recrutement de 300 vacataires/an. C’est donc avec le sentiment du devoir accompli que le président Wade a transformé la poussière jaune héritée du régime socialiste en pont, autoroute à péage et aéroport international.

Fort de tout ce qu’il a entrepris, le PDS ne cédera pas aux forces du mensonge claironné par des parasites égarés qui, pour brouter sous les jupons de l’APR, jouent aux boucs émissaires. En réalité le parti socialiste n’existe même plus puisqu’il est devenu un simple mouvement de soutien du joufflu Macky SALL. Cette culte de la dépendance du PS envers le fessu va fondre comme du neige sous le soleil étant donné que l’attroupement, Benno Tass Yakkar, va inéluctablement voler en lambeau.

Cette coalition contre-nature se trompe de combat. Ces aventuriers sans programme viable sont, au gré de leurs intérêts égoïstes, en train de recourir à des pratiques de destructions volontaires du tissu socio-économique. Cette vague de déguerpissement tout azimut des ambulants, sous le fumeux prétexte du service de l’intérêt général, laissera des séquelles qui pèseront dans un futur proche comme une épée de Damoclès au-dessus de la tête des tenanciers du pouvoir. Sans une relocalisation adéquate et une indemnisation conforme à leurs investissements initiaux, ces marchands ambulants réduits de force à la débrouillardise se soulèveront sous peu pour mettre un terme à cette humiliation dégradante.

Vouloir assainir la ville de Dakar pour augmenter le nombre de sans-emplois ne fera qu’exacerber la déliquescence de cette situation économique plus que morose. En clair, ces incapables avec à leurs têtes Khalifa SALL cherchent à détourner l’attention des sénégalais sur leurs incompétences à dessiner les contours d’un véritable projet de développement pour la ville de Dakar. Dans la réalité, ces socialistes n’ont d’autres objectifs que de se servir et servir ceux par qui ils sont arrivés au pouvoir. Les souffrances du bas peuple, composé de commerçants ambulants provenant de Grand Yoff, Guédiawaye, Pikine, Rufisque et des Parcelles assainies, relèvent du cadet de leurs soucis.

Il serait sage de voir ces irresponsables socialistes arrêter de servir de béquille à ce régime épileptique. Il serait toutefois naïf de croire que cette campagne de désinformation diligentée à l’encontre de l’honorable ministre d’État, Karim Wade et de certains détenus politiques du PDS prospérera. Dire que le parti socialiste n’a pas encore retenu la leçon du 19 mars 2000. Pitoyable.

Éternel Wadiste

Moïse RAMPINO

Moise RAMPINO

Lundi 10 Février 2014 - 14:07





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