Le Comité directeur d’urgence de ce vendredi a décliné un plan d’action savamment planifié, la suite à donner au combat enclenché ce mardi 23 avril. Celui-ci consiste à nationaliser le combat à travers des séries de manifestations dans la banlieue dakaroise et dans les autres régions du pays au courant du mois de mai conformément au vœu de leur secrétaire général, Abdoulaye Wade. En effet, outre la manifestation du mercredi 1er mai, tout un calendrier de manifestations a été mis en branle.
Déjà dès aujourd’hui, le coup d’envoi sera donné à Kolda et à Tambacounda qui ont abrité dans le courant du mois les Conseils des ministres décentralisés. Et s’en suivront des marches de contestations le mercredi 8 mai à Guédiawaye, Pikine, Touba et Mbacké. Ce, avant le remake de la grande marche de Dakar dans la deuxième quinzaine du mois de mai. Selon Babacar Gaye, l’objectif de ce combat n’est pas à personnaliser autour de la personne de Karim Wade. «Le combat que le Pds mène est celui de respect de nos lois et règlements, le respect des procédures. Il y a beaucoup de personnes qui ont été détenues sur la base de procédures que nous avons jugées irrégulières. Nous luttons pour que nous ayons un Etat de droit», dit le porte-parole du Pds
Source Lequotidien.sn
Déjà dès aujourd’hui, le coup d’envoi sera donné à Kolda et à Tambacounda qui ont abrité dans le courant du mois les Conseils des ministres décentralisés. Et s’en suivront des marches de contestations le mercredi 8 mai à Guédiawaye, Pikine, Touba et Mbacké. Ce, avant le remake de la grande marche de Dakar dans la deuxième quinzaine du mois de mai. Selon Babacar Gaye, l’objectif de ce combat n’est pas à personnaliser autour de la personne de Karim Wade. «Le combat que le Pds mène est celui de respect de nos lois et règlements, le respect des procédures. Il y a beaucoup de personnes qui ont été détenues sur la base de procédures que nous avons jugées irrégulières. Nous luttons pour que nous ayons un Etat de droit», dit le porte-parole du Pds
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