Ce lundi, le député Thierno Alassane Sall a rencontré les membres du Rassemblement des Travailleurs Sénégalais (RTS), licenciés par les nouvelles autorités (CDC, DDD, FONGIP, PAD). Après avoir écouté les témoignages de plusieurs centaines de personnes concernées, le parlementaire a dénoncé "une énième atteinte aux droits d’honnêtes citoyens".
Selon lui, ces licenciements massifs révèlent une stratégie claire du régime actuel : "faire de la place aux militants du parti au pouvoir en écartant des Sénégalais par la main droite pour en recruter d’autres par la main gauche, avec comme seul critère l’appartenance politique". Pire encore, il dénonce "un détournement, voire une instrumentalisation de la demande sociale de rationalisation", s’interrogeant sur la nature réelle du projet gouvernemental : "Le Sénégal est-il considéré comme un butin de guerre à se partager ?"
Thierno Alassane Sall rapporte que les victimes déplorent, preuves à l’appui, "une brutalité sauvage dans la sélection des personnes à licencier, une violence dans l’annonce des décisions, ainsi qu’une gestion inique du processus, marquée par des violations flagrantes de leurs droits". Elles se voient imposer un ultimatum inacceptable : "accepter un licenciement aux conditions unilatérales de l’employeur, sans négociation ni préavis, ou subir un renvoi immédiat, sans droits ni indemnisation".
Dans les deux cas, résume le député, "c’est la misère différée de quelques maigres mois, ou la misère immédiate". Conséquences dramatiques : "des enfants retirés de l’école, des loyers impayés, et l’angoisse des jours sans pain". Il conclut avec gravité : "Il ne s’agit pas de Jub, jubal, jubbanti, mais bien de Dëŋ, dëŋal, dëŋŋalaat" (une souffrance profonde et persistante).
Selon lui, ces licenciements massifs révèlent une stratégie claire du régime actuel : "faire de la place aux militants du parti au pouvoir en écartant des Sénégalais par la main droite pour en recruter d’autres par la main gauche, avec comme seul critère l’appartenance politique". Pire encore, il dénonce "un détournement, voire une instrumentalisation de la demande sociale de rationalisation", s’interrogeant sur la nature réelle du projet gouvernemental : "Le Sénégal est-il considéré comme un butin de guerre à se partager ?"
Thierno Alassane Sall rapporte que les victimes déplorent, preuves à l’appui, "une brutalité sauvage dans la sélection des personnes à licencier, une violence dans l’annonce des décisions, ainsi qu’une gestion inique du processus, marquée par des violations flagrantes de leurs droits". Elles se voient imposer un ultimatum inacceptable : "accepter un licenciement aux conditions unilatérales de l’employeur, sans négociation ni préavis, ou subir un renvoi immédiat, sans droits ni indemnisation".
Dans les deux cas, résume le député, "c’est la misère différée de quelques maigres mois, ou la misère immédiate". Conséquences dramatiques : "des enfants retirés de l’école, des loyers impayés, et l’angoisse des jours sans pain". Il conclut avec gravité : "Il ne s’agit pas de Jub, jubal, jubbanti, mais bien de Dëŋ, dëŋal, dëŋŋalaat" (une souffrance profonde et persistante).