Le système éducatif n’en a pas encore fini avec des remous. En ce début de semaine, les syndicats d’enseignement, le Saes, le Cusems et le Grand cadre vont encore ruer dans les brancards.
Un plan d’action a été décliné par ce front unitaire pour exiger le respect de tous les accords signés avec le Gouvernement.
Dès ce mardi 1er mars, un débrayage sera observé à partir de 9 heures, suivi d’assemblées générales. Le lendemain une grève totale sera suivie d’une conférence de presse et le vendredi 11 mars, une grève totale et un grand rassemblement de tous les enseignants membres de ces syndicats.
Une façon pour ces organisations syndicales de mettre l’Etat face à ses responsabilités. D’ailleurs c’est dans cette ordre d’idées qu’Abdoulaye Ndoye a invité sur les ondes de la Rfm ses camarades des autres syndicats de la santé, des collectivités locales, du Sytjus, à venir agrandir les rangs, afin d’exiger du «Gouvernement, qui a manifesté sa mauvaise foi, le respect de tous les accords signés».
Un plan d’action a été décliné par ce front unitaire pour exiger le respect de tous les accords signés avec le Gouvernement.
Dès ce mardi 1er mars, un débrayage sera observé à partir de 9 heures, suivi d’assemblées générales. Le lendemain une grève totale sera suivie d’une conférence de presse et le vendredi 11 mars, une grève totale et un grand rassemblement de tous les enseignants membres de ces syndicats.
Une façon pour ces organisations syndicales de mettre l’Etat face à ses responsabilités. D’ailleurs c’est dans cette ordre d’idées qu’Abdoulaye Ndoye a invité sur les ondes de la Rfm ses camarades des autres syndicats de la santé, des collectivités locales, du Sytjus, à venir agrandir les rangs, afin d’exiger du «Gouvernement, qui a manifesté sa mauvaise foi, le respect de tous les accords signés».