« Cette reprise de l’activité économique est essentiellement imputable au redressement de la croissance du secteur primaire qui a atteint 2,7% contre 0,5% l’année précédente, et à la consolidation de celle du secteur secondaire qui s’est établie à 5,2%, après 5,1% en 2013 », explique l’ANSD.
En revanche, ajoute cette structure, elle est limitée par le ralentissement du secteur tertiaire qui a perdu 0,5 point de croissance pour ressortir à 4,1%, sous l’effet de la perte de vigueur des services de Poste et Télécommunications et de l’impact de l’épidémie à virus Ebola sur les activités d’hébergement, de restauration et de transport aérien.
La relance du secteur primaire est principalement imputable aux performances notées dans les activités extractives (plus 6,3%) portées par les productions de Zircon et de Titane, de l’élevage et chasse (plus 4,9%) ainsi que de la sylviculture et l’exploitation forestière (plus 4,5%).
« Le raffermissement du secteur secondaire est impulsé par la vigueur de la construction (plus 11,3%) et la bonne tenue des activités de fabrication de produits en caoutchouc et en plastique (plus 11,5%) et de fabrication de machines (plus 15,5%) », note l’ANSD.
Quant au déficit extérieur du compte des biens et services, il s’est amélioré en passant de 1527 milliards FCFA en 2013 à 1 449 milliards en 2014, soit un repli de 78 milliards FCFA.
En revanche, ajoute cette structure, elle est limitée par le ralentissement du secteur tertiaire qui a perdu 0,5 point de croissance pour ressortir à 4,1%, sous l’effet de la perte de vigueur des services de Poste et Télécommunications et de l’impact de l’épidémie à virus Ebola sur les activités d’hébergement, de restauration et de transport aérien.
La relance du secteur primaire est principalement imputable aux performances notées dans les activités extractives (plus 6,3%) portées par les productions de Zircon et de Titane, de l’élevage et chasse (plus 4,9%) ainsi que de la sylviculture et l’exploitation forestière (plus 4,5%).
« Le raffermissement du secteur secondaire est impulsé par la vigueur de la construction (plus 11,3%) et la bonne tenue des activités de fabrication de produits en caoutchouc et en plastique (plus 11,5%) et de fabrication de machines (plus 15,5%) », note l’ANSD.
Quant au déficit extérieur du compte des biens et services, il s’est amélioré en passant de 1527 milliards FCFA en 2013 à 1 449 milliards en 2014, soit un repli de 78 milliards FCFA.